C’est une nouvelle étape dans la banalisation de la reconnaissance faciale, et plus largement du contrôle social biométrique. Tout cela parce qu’une entreprise considère que, dans un aéroport, « l’un des stress possible (…) c’est les files d’attente ou la complexité de reconnaissance des documents ». On retrouve dans ce projet les mêmes idées de « fluidification » et de « facilitation d’accès » qui sont au cœur des projets [des dites]"Smart"/"Safe" Cities , les mêmes arguments qui nous poussent à nous opposer à ces projets : un idéal de rationalisation et d’optimisation, un idéal (...)