Tout a commencé à la mi-juillet. Face à des conditions sociales qui se dégradent et au vol de nos jours fériés, des milliers de citoyens se sont unis en plantant discrètement les graines de l’espoir dans le creuset numérique. De cette semence estivale émerge une force de contestation. Le 10 septembre n’est plus une date, c’est une unité dans la révolte.
C’est début août ici à Nantes, au cœur d’un été qui éblouit le pays de son soleil, que la révolte a commencé à prendre racine. Portée par des figures anarchistes locales, fortes de 250k à 500k abonnés sur les réseaux sociaux, elle (...)