Ce que je peux répondre à Ibrahim de ce que je fais c’est que depuis ce mois d’octobre où deux fanatismes se sont entrechoqués je vais tous les samedi à 15 h des fois avec 100, 150 autres humains, d’autre fois avec 25/ 30 montrer l’horreur de ce qui vous est infligé. Des fois je me dis qu’à faire ça ( ici à Orléans et ailleurs) nous sommes comme les mères de la place de Mai en Argentine sauf que nous ne pleurons pas nos fils morts mais nos frères en humanité suppliciés par les excès de fanatiques.
Est ce qu’un jour les adeptes des dogmes religieux liés à ds pouvoirs politiques et (...)