Voilà comment les choses se passent dans le BTP : les contrats sont négociés à des prix très bas, inadmissiblement bas. Dès lors, il n’y a pas d’autres moyens, pour faire du profit et payer grassement les dirigeants que de pressurer les opérateurs jusqu’à la moelle. Les dégâts humains - blessures, dépressions, usure physique - sont ensuite pris en charge par la collectivité.
Ce type d’entreprise devrait disparaître pour ne rester admises que les entreprises personnelles ou coopératives, c’est à dire où la propriété de l’outil de travail et le travail lui-même sont entre les mêmes (...)