Voici ma réponse à un article daté de novembre...

Réponse du CNNR de Valence à un article de Ricochets - 02

mardi 16 février 2021, par Lila.

Voici ma réponse à un article daté de novembre 2020.

CNNR de Valence {JPEG}Valence, le 14/02/2021

"Indiens du futur",

C’est une femme du présent qui vous écrit. Maman, enseignante et militante depuis toujours pour la protection ( la survie) du vivant, le respect de la planète et la dignité des espèces.

Accessoirement, je suis référente du collectif CNNR de Valence.

Vos articles acerbes et méprisants concernant le CNR et le CNNR m’ont profondément blessée. Jusqu’alors, je "buvais" les articles éclairants de ce journal comme du petit lait.

Voir Chimères et père Noël : les faux espoirs dangereux des CNNR & co concernant la civilisation industrielle éco-durable bio-démocratique

Encore un titre bien raccoleur... Ne parlons pas de l’illustration ...

" ET TOUJOURS PLUS DE FAUX ESPOIRS, D’ESPÉRANCES ABSURDES ET NUISIBLES"

Continuons notre lecture : " La noire civilisation techno-industrielle ne peut pas se transformer en joli carrosse vert écolo et démocratique " " Ce n’est pas parce que Noël approche qu’on doit croire aux contes de fées en s’imaginant que la civilisation techno-industrielle pourrait devenir éco-durable et démocratique.
On dit que « l’espoir fait vivre », mais là il pourrait bien être fatal.
"

No comment.

"Le CNNR, comme la plupart des gens et des groupes de gauche, promeut un rêve, une chimère : la transformation de la présente civilisation techno-industrielle, antidémocratique et mortifère, en une civilisation techno-industrielle éco-durable et démocratique."

Où avez-vous lu pareille affirmation ?
Qui, dans le CNNR a prononcé de telles paroles ?

" (D’un côté, le Servigne (c’est élégant...) nous dit que la civilisation industrielle va s’effondrer vers 2030, c’est sûr. De l’autre, qu’il faut que nous rendions la civilisation techno-industrielle biodurable et démocratique. Tout est possible. Choisissez vos croyances.)"

Il a vraiment dit ça ? Il promeut réellement la techno-industrie ? Nous n’avons pas dû suivre les mêmes vidéos ... mais j’accepte avec honnêteté vos preuves.

"Les espérances creuses du CNNR reflètent peut-être l’état d’impuissance, de dépossession dans lequel nous sommes tous englués. Le désastre ambiant génère un besoin de croire en n’importe quoi, et d’abord en des choses plutôt simplistes, faciles — comme en la possibilité de ne pas changer grand-chose, de conserver l’essentiel de la civilisation industrielle et de le rendre écologique et démocratique. Leurs espérances se fondent sur l’idée selon laquelle il est possible de rendre l’État (les structures étatiques) démocratique, de contrôler démocratiquement et de rendre soutenable la technologie, l’argent, le secteur bancaire, c’est-à-dire le capitalisme, sur l’idée selon laquelle le salariat est une condition désirable (le travail, une bonne chose), etc. Chacune de ces idées est terriblement contestable. Prises ensemble, il ne peut s’agir que d’une mauvaise blague."

On avait compris... mais toujours pas de source de ce que vous avancez comme des vérités factuelles.

Pour conclure ; "Pour éviter de croire aux contes de fées une fois adulte, et agir dans des directions salutaires" : une bibliographie proposée pour sauver nos âmes...

Relisez ma réponse à votre article de mai 2020 et pour élever le débat, voici d’autres extraits du manifeste du CNNR ( lisez-le vous verrez), qui est à enrichir, à débattre et à améliorer bien sûr !

"Aujourd’hui, en France, il n’y a pas d’occupation d’une puissance étrangère. Mais il y a des trahisons.
Trahison de faire passer les intérêts privés du capital avant les biens communs, les biens publics et l’intérêt général.
La trahison vient avant tout du néo-libéralisme. Cette idéologie veut que les profits soient privatisés et les pertes socialisées.
Cette manière de donner la priorité à « l’économie asociale et égoïste » au détriment de l’économie sociale et solidaire.
Plus largement, il y a une trahison de la modernité, cette promesse d’émancipation qui s’est avérée être un cauchemar technicien centrée sur le court terme, coupée aussi bien des sagesses des anciens que de l’intérêt des générations futures.
La colère est juste et légitime, mais jusqu’où ira-t-elle ?
C’est là que nos chemins se séparent « Indiens du futur » : Pour éviter un bain de sang et un chaos social, la Résistance doit tout faire pour reprendre les leviers de nos institutions, en créer de nouvelles, et surtout recouvrer et redistribuer les richesses de cet immense pillage."

Mais peut-être suis-je béatement naïve de croire encore que nos divergences ne nous empêcheront pas d’oeuvrer pour le bien commun tant les bonnes volontés, sincères et solidaires, sont plus que jamais les bienvenues.

Voici donc vos solutions :

"Avec ces analyses, on comprend vite que :
1. La lutte pour du capitalisme dit « vert » est une impasse dangereuse
2. La lutte pour une relance économique type « green new deal » planifiée est une impasse également, il faudrait en finir avec les mythes de solutions technologiques, de progrès, de solutions par les énergies renouvelables, de développement durable, de transition écologique...
3. La lutte contre les formes les plus caricaturales du capitalisme (ultra-libéralisme, Amazon, finance débridée...) est un dérivatif
4. La lutte pour du « social-chauvinisme » est un piège
5. La lutte pour du capitalisme local est très très insuffisante
6. La lutte pour des résiliences socio-écologiques locales soutenables et vivables ne fonctionne pas seule, il faudrait parallèlement une lutte contre la civilisation industrielle
7. La lutte pour la fin du capitalisme ne marchera pas si on n’en finit pas avec les structures sociales, politiques, philosophiques, culturelles qui le sous-tendent
8. Vouloir la fin du capitalisme implique d’en finir avec la civilisation et tout son monde, et avec la civilisation industrielle en particulier

On n’a plus « le temps » (au regard des désastres produits par la civilisation industrielle qui conduisent à une planète à peu près inhabitable et désertique) de se leurrer, de faire les choses à moitié, de s’enliser dans des impasses, de se rassurer à bon compte, de repousser les problèmes, de laisser de trop petites minorités se battre seules.
Et même sans parler des désastres futurs, les carnages en cours et passés sont déjà bien suffisamment horribles et probants pour motiver une action radicale.
"

- C’est à dire ?? Concrètement, vous proposez quoi ?


Forum de l’article

  • Voici ma réponse à un article daté de novembre... Le 8 mars 2021 à 16:03, par Indiens du Futur

    Concernant cet article de Lila, quelques remarques (un peu en retard) :

    Tout d’abord, en relisant les titres de nos articles qui critiquent le CNNR (en reprenant des propos d’autres personnes), on s’est dit que sans doute qu’ils étaient un peu trop provocateurs, désolé, le but n’était pas de blesser des personnes, juste de secouer le cocotier, on en a un peu marre de voir les choses se répéter dans des ornières. Pour la suite, on essaiera de faire mieux.

    Ok le CNNR c’est encore nouveau, c’est pas forcément figé et ce mouvement (?) pourrait évoluer dans diverses directions.

    Ok y a des généralités « sympas », mais quand on lit certaines phrases (voir sur le site) on se dit que ce type de mouvement tourne en rond :

    • Dans le préambule : « La rupture avec le capitalisme financier et clandestin est la condition absolue de toute transition écologique. » Bof, le capitalisme est un problème, quelle que soit sa forme et son secteur. La « transition écologique » ça ne veut plus rien dire, tout le monde le reprend pour évoquer tout et son contraire
    • « refondation de la démocratie » : la démocratie ne peut pas être « refondée » vu qu’elle n’a jamais existé en france. Et le paragraphe n’évoque pas l’option de la démocratie directe
    • paragraphe « travail et emploi » : aucune remise en cause du concept de travail ni du salariat ni de la monnaie, ni du concept fondamental de « Valeur »
    • paragraphe « éducation » : aucune remise en cause de l’éducation nationale étatique, que ce soit dans ses buts, ses orientations ou son fonctionnement. On voit aussi que « la recherche » est valorisée, sans remise en cause de l’innovation technologique et des buts (militaires et économiques) de cette recherche

    Dans la déclaration fondatrice on ne voit aucune trace d’une critique de la civilisation ni même de l’Etat.
    Au contraire, le rôle omniprésent de l’Etat est renforcé, on semble rester dans la technocratie.
    Ce qui augure mal des possibilités futures de transformations positives.

    # Le fait que le CNR et les résistant.e.s aient eu de grands mérites à une époque n’interdit pas de critiquer certaines de leurs orientations, ou de critiquer le fait qu’ils participaient à une culture comprenant de gros problèmes fondamentaux

    On ne voit pas non plus de remise en cause de l’industrialisme ni du « progrès » technologique.
    Et puis les autres êtres vivants ne semblent pas avoir d’importance en soi pour le CNNR, qui parle surtout de biens communs (L’air, l’eau, la biodiversité, la santé, l’éducation, la culture, les connaissances, la recherche, le climat). On dirait que le vivant non-humain est envisagé surtout en fonction des besoins humains et des ressources pour l’humanité.
    Tout ça annonce mal des transformations radicales écologiques et sociales, mais ressemble plutôt à un simple « relookage » des anciennes conceptions de gauche concernant l’Etat, la civilisation et l’écologie.

    Dans le passé, quasi toutes les composantes de gauche, y compris les anarchistes, à part quelques personnes et courants, se sont fourvoyées dans le rêve d’émancipation par la croissance de la production et du progrès technologique, dans la poursuite de la civilisation, de la civilisation industrielle,. On a vu ce que ça a donné.
    Et la plupart des courants de gauche ont accepté/intégré, bon an mal an, le capitalisme. Là aussi on voit le résultat. Le capitalisme reprend petit à petit les concessions qu’il avait été contraint de laisser. Tant qu’il n’est pas mort, que ses fondements idéologiques et matériels sont là, il renaît et s’étend.

    On n’est pas contre la gauche, on ne pense pas que la gauche c’est de la merde en soi, mais que malgré de bonnes bases y avait des gros pans fondamentaux à côté de la plaque, qu’on pourrait dire incomplets, impensés, pas vus, et qui continuent hélas à être très-trop présents, à entraîner personnes et mouvements vers des impasses, des désastres, des cul de sac qu’on ne peut plus trop se permettre si on croit les urgences écologiques et sociales qui menacent l’ensemble du vivant et des mondes qui le soutienne.

    Et puis l’objectif du CNNR reste bien flou non ?
    Qu’est-ce que c’est ? Un cercle de réflexion, une organisation de lobbying en direction de partis et d’élus ? Un mouvement destiné à ratisser des gens au profit d’un parti de gauche pour les élections ?

    - Voir également notre article : Ecologie et luttes sociales : faux-amis et vrais ennemis, une clarification vitale : Evitons de nous enliser davantage dans des impasses mortelles

    Il faudrait sans doute arriver à discuter de tout ça de vive voix à l’occasion.

    PS :
    - pour Pablo Servigne, il a apporté des choses intéressantes, éclairantes, mais il dit aussi des choses contradictoires et soutient souvent des personnes portant des projets/idées à côté de la plaque. Voir sur https://www.partage-le.com/ des articles qui traitent ces questions mieux que nous.
    Au final, ça fait davantage de confusions et d’impasses que d’aides pour avancer vers des mondes vivables.

    - Pour nos propositions sur les modes de luttes et sur des sociétés autres, vivables, voyez nos articles qui parfois en parlent : culture de résistance, démocratie directe, complémentarité et solidarité des tactiques....

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  • Voici ma réponse à un article daté de novembre... Le 1er mars 2021 à 11:55, par Heska

    Chouette, je me demande vraiment quels milieux de gauche envisagent des alliances révolutionnaires avec l’extrême-droite ?!? Je souhaite vraiment avoir l’un ou l’autre exemple. Les idées de l’extrême-droite sont surtout portées par la classe politique techno-républicaine. N’est-ce pas Macron lui-même qui a rendu hommage à Pétain ? N’est-ce pas à Darmanin que Le Pen a dit qu’elle aurait signer son livre et n’est-ce pas ce même Darmanin qui lui a dit qu’elle était plus molle que lui ? N’est-ce pas LAREM, les Républicains ou certaines franges du PS passées au macronisme qui voient des « islamo-gauchistes » partout à l’université empruntant à l’extrême-droite son vocabulaire et ses postures anti-intellectuelles ? D’un point de vue révolutionnaire il n’y a aucune alliance gauche-extrême-droite. Par contre au niveau gestionnaire, parlementaire et pseudo-démocratique, oui il y a incontestablement des passerelles. Et tout ce petit monde se met d’accord pour que l’un (Le Pen) soit l’épouvantail de l’autre (Macron, Valls et avant eux Mitterand qui fut tellement proche de la droite nationaliste des années 30).

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    • Voici ma réponse à un article daté de novembre... Le 3 mars 2021 à 19:08, par Chouette

      Oui, l’ensemble de la société subit cette percée des idées fascisantes. Politiques, médias, etc. C’est grave mais ça ne me surprend pas.
      Par contre, voir des médias et organisations de gauche ou libertaires jouer la confusion, ça m’a toujours semblé très inquiétant. Je vais pas faire la liste. Regardons ici-même : tribunes de Raoult, liens vers Les Patriotes ou les infos soulevées ci-dessus à propos du CNNR. Et je lis pas tout. À chaque fois, des voix se lèvent pour rappeler une ligne de gauche. En vain ?
      L’extrême-droite joue la victime de la censure et se présente comme « contre-information » aux médias dominants alors que ses idées sont partout, comme tu le dis. Pourquoi relayer ses infos ici ? Il est important de voir que l’extrême-droite et son lot de populisme progresse pas seulement dans les discours dominants mais aussi dans nos réseaux. Le covid et ses suites accentuent la confusion : on va chercher des « contre-informations » n’importe où (réinfocovid, etc). Raoult et Philippot font bien suffisament parler d’eux. S’immiscer à gauche, c’est leur stratégie : un populisme pseudo « anti-système » qui veut récupérer un électorat populaire. C’est ça le fascisme qui pointe. Rappelons que Mussolini et d’autres mouvement fascistes ont commencé ainsi, avec une gauche désabusée qui était prête à tout pour jouer sa carte.

      Selon moi, toute lutte se doit être claire sur la question de ces passerelles. Aucune alliance. Aucun populisme. Je considère primordial de regarder et définir avec qui et comment on lutte, on vit.

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      • Voici ma réponse à un article daté de novembre... Le 3 mars 2021 à 19:25, par Collectif d’animation de RICOCHETS

        « Chouette », vous avez raison de faire ce rappel à la vigilance.
        Le collectif qui gère Ricochets est attentif à ces problèmes. Il nous est d’ailleurs arrivé de refuser certains articles faisant la promotion des idées d’extrême droite en loucedé.
        Peut-être y a t-il quelques articles plus ou moins tendancieux qui ont été publiés sur ce site, mais ilsl nous semble rares (l’écrasante majorité des articles est toute autre), et on préfère laisser passer quelques trucs plus ou moins craignos ou ambigües, qui font vivre malgré tout le débat, plutot que de risquer d’être trop raides sur la censure.
        Par ailleurs, il est toujours possible de publier des commentaires ou des articles pour alerter les lecteurs si le besoin s’en fait sentir. Aucune modération ne pouvant être « parfaite ».

        Le Collectif d’animation de Ricochets

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      • Voici ma réponse à un article daté de novembre... Le 3 mars 2021 à 19:39, par Heska

        Et bien Chouette, maintenant je comprends d’où vient la confusion. Si les responsables de Ricochets peuvent se revendiquer de gauche ou des pensées libertaires et anarchistes, et ils le sont je n’en ai aucun doute, il ne faut pas imaginer que Ricochets soit un média anarchiste pour autant. C’est un média participatif où chacun peut écrire pour autant qu’il ne dépasse pas certaines bornes. Il faut bien reconnaître que citer Raoult ne fait pas de l’auteur un néo-nazi ou un propagandiste d’extrême-droite ou un révolutionnaire nationaliste. Oui je sais, il n’y a en même temps aucune chance qu’il soit anarchiste. Mais ce n’est pas si grave. Peut-être tout simplement un démocrate au sens dévoyé du terme ? Il me semble en tout cas que la grande majorité des contributeurs de Ricochets savent penser sans Raoult et ont sur cette pandémie plutôt pour source d’inspiration des gens comme Agamben, Baschet ou Jappe.

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  • Voici ma réponse à un article daté de novembre... Le 28 février 2021 à 20:25, par Chouette

    Tout à fait d’accord avec ton commentaire, Biloute42, et rappelons que le fascisme ne vient pas spécialement de l’extrême-droite mais aussi, et surtout, des milieux de gauche qui sombrent dans la confusion en croyant qu’ils vont gagner des clients en élargissant leurs bases, alors qu’ils risquent surtout de se faire grignoter.
    On en est au point où, clairement, dans des milieux identifiés « à gauche », des gens se revendiquent « ni de gauche ni de droite » et envisagent des possibilités révolutionnaires avec l’extrême-droite. Pour celles et ceux tenté.es par cette aventure, sachez qu’à la fin, c’est toujours l’extrême-droite qui gagne à ce jeu-là.

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  • Voici ma réponse à un article daté de novembre... Le 17 février 2021 à 10:42, par biloute42

    Quand je lis Ricochets, notamment les pamphlets des Indiens du futur contre les militants politiques de « gauche », je me dis qu’on doit pouvoir recevoir une contradiction. Mais quand rajouté à ça, je lis Papyweb et ses articles « copier-coller » de la propagande conspirationniste soutenue par l’extrême droite comme le dangereux Florian Philippot (https://ricochets.cc/Covid19-Coronavirus-MAL-TRAITES.html), je me dis en fait que ces charges violentes contre les mouvements politiques de gauche dans Ricochets sont mal intentionnése, et que les principaux auteurs de Ricochets devraient se poser et discuter de leur positionnement politique au risque de mélanger les idées d’extrême droite et les leurs. Parce que lu de l’extérieur, l’extrême droite et ses arguments ou ses sophismes sont bien entrés en force dans Ricochets.

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