Tout brûle déjà, et on se comporte en spectateur des désastres ?

Rester passif ou s’en remettre aux classes dirigeantes n’arrêtera pas les catastrophes

lundi 12 juillet 2021, par Les Indiens du Futur.

A présent, les désastres climatiques et écologiques produits par la civilisation industrielle, les Etats et le capitalisme sont plus clairement présents, et pas seulement dans des pays pauvres lointains que d’habitude on tend à ignorer.
On fait quoi ? On attend que ça empire encore ? que ça devienne "irréversible" ?
On compte sur les martiens ou les fables répétées par les élus ?
On espère que des innovations technologiques miracles qui n’existent pas vont palier les effets néfastes des innovations technologiques présentes ?
On prie pour que le Saint Marché trouve une "solution" pour contrecarrer les effets fatalement néfastes du Saint Marché ?
On courbe l’échine en croyant que ça va passer tout seul ?
On écrit une énième supplique aux élus ?
On se limite à manger bio et à rouler à vélo ?
On conserve des valeurs capitalistes et réformistes, parce que oulala l’écologie radicale, l’anarchisme et l’anti-capitaliste ça fait trop peur ?
On contemple les ruines qui avancent sur de grands écrans en mangeant des chips
sur fond de bonne musique ?
On prend des selfies trop classes devant les thermomètres qui explosent, au pied de la vague géante d’incendies géants ou d’inondations qui l’instant d’après nous emportera ?

Rien d’irrémédiable dans ces désastres, ils sont produits par un certain système de société, donc on peut agir pour y mettre fin, on peut encore arrêter ce qui peut l’être, réparer, faire autrement, on peut se révolter et agir de diverses manières, directement et collectivement.
Et c’est tout bénéf, car stopper les désastres climatiques et écologiques avec l’objectif de créer des sociétés vivables entraîne aussi une remise en question complète des inégalités sociales et de la précarité.
Au lieu d’espérer un miracle qui ne viendra pas, on peut faire croître des forces de vie et de résistance.

Pour bien voir ce qui se passe, quelques exemples récents de l’avancée accélérée des catastrophes produites par le système extrémiste, suicidaire, violent et cynique en place :

🌡️LESASTRE EST DÉJÀ LÀ : TOUR D’HORIZON

Amérique du Nord : la côte ouest coincée sous un « dôme de chaleur ». Des records caniculaires inédits et historiques font la une des journaux internationaux. La côte ouest des États-Unis et du Canada fait face à des températures dantesques depuis plusieurs jours. A Portland, le 28 juin, le mercure affichait 44,6°C. Des centres de « rafraîchissement » ont été mis à disposition des habitants contraints de se réfugier dans des centres commerciaux climatisés. Au Canada, le bitume et les gaines électriques fondent. Plusieurs centaines de personnes sont décédées de « mort subite ». Particulièrement les personnes âgées vulnérables à ces conditions climatiques. La ville de Lytton en Colombie Britannique était au cœur de l’actualité. Après avoir atteint des niveaux de chaleur inégalés avoisinant les 50° depuis le début de la semaine, des feux de forêt gigantesques se sont déclarés. Acculées par les incendies, les autorités de la ville ont dû la faire évacuer. On apprenait aujourd’hui que Lytton s’était embrasée comme une allumette, la ville est ravagée à 90 % par les flammes.

Russie : épisode caniculaire et pluies diluviennes. Le cercle polaire étouffe. Les images du satellite du programme européen Copernicus sont alarmantes. En Sibérie, le 20 Juin, les relevés météorologiques faisaient état de températures anormalement élevées. 37°C à Saskylah, 43°C à Govorovo et jusqu’à 48°C près de Verkhojansk. Du jamais vu depuis 1936. La région sibérienne est régulièrement le théâtre de « feux zombies » : des feux qui couvent l’hiver et réapparaissent l’été en raison des fortes chaleurs. À Moscou, après un mois de juin particulièrement chaud avec un pic de chaleur à 34°C, des pluies diluviennes et des vents violents se sont abattus sur la capitale russe. Les moscovites ont été submergés par des torrents de pluies. Les stations de métro ont dû être bouclées. Un incendie s’est déclaré dans une centrale électrique à cause de la foudre. Les dégâts sont considérables d’après un reporter sur place. Sur les réseaux sociaux, il raconte : « les infrastructures de Moscou ne sont pas en mesure de supporter les plus de 50 millimètres de pluie qui sont tombés sur la ville aujourd’hui ».

Madagascar : famine climatique. La sécheresse qui sévit depuis plusieurs années sur l’île de Madagascar est en train de créer une situation dramatique. Une sécheresse crée par le réchauffement climatique. 1 million de personnes souffrent de stress alimentaire. Au Sud du pays, 14000 malgaches sont dans une situation de famine. En trois ans, il n’y a eu aucune précipitations dans la région, pas une seule goutte de pluie. Dans ce pays pauvre ou la majorité des personnes dépendent de l’agriculture pour survivre, le manque d’eau est une véritable catastrophe.

France : Les Vosges et la Haute-Saône engloutis sous un orage de grêle. Le 29 juin, l’Est de la France a été frappé par un phénomène orageux d’une rare violence. Plus de 80 centimètres de grêlons se sont accumulés dans certaines villes provoquant par endroit des inondations. Une ligne électrique et des routes ont été endommagées et plusieurs récoltes ont été détruites. Le climatologue Robert Vautard, invité sur France Info disait déjà en juin 2019 : « les conditions météo qui amènent à ces phénomènes orageux en général sont amenées à se répéter, surtout avec l’augmentation des températures qui permet d’avoir plus de vapeur d’eau dans l’atmosphère et plus de précipitations par conséquence. Les phénomènes violents arrivent déjà plus souvent ».

Le rapport du GIEC : Le dernier rapport des experts sur le climat nous annonce un futur cataclysmique. Un réchauffement global de +2°C constituerait un point de non-retour pour la fonte des calottes glaciaires de l’Antarctique de l’ouest et du Groënland. Cette fonte provoquerait à elle seule une hausse du niveau de la mer de 13 mètres, avec des conséquences effroyables. Une vingtaine de mégalopoles sont directement menacées par la montée des eaux dont New-York, Miami, Calcutta, Rio de Janeiro, Abidjan, Osaka ou encore Bangkok. Un tel scénario entraînerait d’importants déplacements de populations.

En 10 ans, une baisse de la production des principales cultures - D’ici les années 2050, 80 millions de personnes supplémentaires pourraient souffrir de la faim dans le monde. Le réchauffement climatique aurait aussi un fort impact sur les inégalités. La multiplication des catastrophes qu’il engendre pourraient priver plusieurs millions de familles de leur moyen de subsistance. Avec une augmentation de la température de +2°C, plus de 130 millions personnes à travers le monde risquent de basculer dans un état de pauvreté extrême. Ce chiffre se rajouterait aux 730 millions d’êtres humains vivant déjà dans des conditions de vies misérables, victimes du capitalisme mortifère. Enfin, comme nous le montre la triste actualité de ces derniers jours, les scientifiques prévoient que 420 millions d’habitants de la planète pourraient être menacés par des épisodes caniculaires. D’ici 2030, une personne sur deux manquera d’eau. 17 pays seront en état de stress hydrique et le rapport annonce que la banque mondiale a estimé à plus de 140 millions le nombre de réfugiés climatiques dans les prochaines années.

(post de Nantes Révoltée)

CATASTROPHES ÉCOLOGIQUES : LE SILENCE COMPLICE DESDIAS
par [Le Média->https://www.youtube.com/c/LeMédiaOfficiel]
https://www.youtube.com/watch?v=bni1yTZlWEU

Le capitalisme dit "vert" c’est toujours du capitalisme

Le changement climatique semble se foutre du capitalisme vert comme de l’an 40.
(Flagstaff, Arizona, après des pluies intenses)
"Les inondations ont été extrêmement graves, aggravées par les conséquences des incendies de forêt qui se sont produits là-bas. En d’autres termes, aggravée par le changement climatique." (Joshua Potash/Twitter)
Les sols brûlés ne draineraient par conséquent plus suffisamment l’eau des pluies, favorisant la création de ces torrents de boue.

🌊OCEAN IS BURNING 🔥

Terribles et fascinantes images de pompiers tentant d’éteindre un feu... dans l’océan. Vendredi, dans le golfe du Mexique, une fuite sur un pipeline sous-marin reliant une plate-forme exploitée par la société pétrolière Pemex a provoqué un énorme incendie à la surface de l’océan. Les conséquences écologiques pourraient être très importantes.
L’homme est en train de littéralement brûler toute la terre....y compris en mer !

(post de Cerveaux non disponibles)

Canicules partout, écologie nulle part ?

  • Climat : Il faut s’attendre à des vagues de chaleur « hors du commun » partout dans le monde - « Les vagues de chaleur augmentent en intensité et en fréquence à cause du dérèglement climatique », selon un rapport scientifique. Et leur force, notamment aux États-Unis, surprend même les chercheurs. Qui préviennent qu’aucune zone géographique ne sera épargnée. (...) En clair : passé une certaine température, de nouveaux processus pourraient se produire, qui aggraveraient la canicule. « Lors de chaleurs extrêmes, les plantes ferment leurs stomates pour conserver leur eau, et limitent ainsi fortement leur évapotranspiration, illustre M. Vautard. Le problème, c’est que l’évapotranspiration “rafraîchit” l’atmosphère… Sans elle, toute l’énergie du soleil est retransmise sous forme de chaleur. » Le système climatique s’emballerait donc dans un cercle vicieux délétère. Ces mécanismes sont encore peu connus et font l’objet de recherches approfondies.
  • L’Espagne s’apprête à franchir ses records de température - Le mercure pourrait dépasser 47 °C par endroits dans les prochains jours, prêt à battre les records. De plus en plus longs, intenses et fréquents, les épisodes de chaleur suivent l’évolution générale du climat en Espagne : des étés plus chauds, plus secs, et qui durent plus longtemps.
  • L’Algérie est confrontée à la canicule - et à la rareté de l’eau saine - L’Algérie subit une forte vague de chaleur en ce début d’été. Elle est aussi confrontée à des manques d’eau potable et des coupures d’électricité. La ruée vers les étendues d’eau pour se rafraîchir est périlleuse : noyades et eaux polluées ont fait plusieurs victimes.
Tout brûle déjà, et on se comporte en spectateur des désastres ?
Le problème n’est pas l’égoïsme ou la quête de profits de certains, le problème est dans les rouages du système, dans la nécessité d’augmenter la valeur, de croître, dans le productivisme, le problème c’est le totalitarisme du monde de l’économie

LE CAPITALISME EST UNSASTRE

- Que tout continue ainsi, voilà la véritable catastrophe -

Chaleurs caniculaires, méga-feux, phénomènes météorologiques de plus en plus violents. Ces dernières semaines les tristes actualités ne nous ont pas épargné. Le réchauffement de la planète s’accélère, au même rythme que la course effrénée au profit. L’ultra-libéralisme est un catalyseur de réaction cataclysmique. À l’heure où les forêts brûlent, le modèle de production capitaliste n’est qu’une ineptie. Le désastre est partout. Les espèces disparaissent les unes après les autres. Les entreprises polluantes enregistrent des bénéfices records. Dans le même temps les « accidents » industriels se multiplient, occasionnant des dégâts environnementaux irrémédiables. Retour sur la série de catastrophes de ces dernières semaines qui mettent en exergue les ravages d’un monde froid, sans vie, où le profit n’est plus que jamais la seule boussole :

➡️ Golfe du Mexique : Un incendie sous-marin s’est déclaré sur un pipeline reliant une plateforme pétrolière exploitée par la société Pemex. L’histoire du groupe pétrolier est parsemé de scandales de corruption et de catastrophes. En 2019, l’explosion d’un de leurs oléoducs faisait plus de 100 morts à Tlahuelilpan au Mexique. Ce vendredi 3 juillet, c’est suite à la rupture d’un gazoduc qu’un gigantesque « œil de feu » s’est formé à la surface de la mer. Plusieurs navires ont déversé des trombes d’eau sur l’océan littéralement en flamme pendant plusieurs heures. Pour maîtriser l’incendie, le groupe pétrolier aurait utilisé de l’azote. Un désastre de plus pour un écosystème marin déjà fragilisé par la sur-captation de CO2. D’après une enquête du Guardian, Pemex est classée parmi les 20 entreprises ayant le pire bilan au monde en termes d’émission carbone. La société est aussi la plus polluante d’Amérique Latine, contribuant quasiment à 2% des émissions totales à effet de serre dans le monde. Un chiffre énorme pour une seule et même compagnie.

➡️ Roumanie : Toujours ce vendredi, une plateforme située au bord de la mer Noire a pris feu. L’explosion dans le raffinerie a tué un ouvrier et en a blessé cinq autres, dont un grièvement. Le panache de fumée noire s’est élevé à plusieurs centaines de mètres de haut, sous le regard médusé des touristes venus barboter dans l’eau. Situé à une quinzaine de kilomètres de la principale station balnéaire de Mamaia, les autorités ont invité les habitant-es de la zone à fermer les fenêtres. Suffisant pour protéger protéger la population des retombées hautement toxiques ? Rien n’est moins sûr. Dans les années 2000, cette raffinerie, la plus grande de Roumanie avait fait l’objet d’une procédure pénale pour évasion fiscale, blanchiment et fraude avant d’être placée sous séquestre en 2016. Décidément.

➡️ Azerbaïdjan : Autre mer, autre explosion. Dans la mer Caspienne, une gigantesque explosion a eu lieu cette nuit près d’un champ gazier au large de Bakou. Les causes de l’accident restent pour le moment inconnues. À suivre.

➡️ Chine : « Incident » nucléaire dans L’EPR - réacteur nucléaire de troisième génération - de Taishan en mai dernier, construit et livré par EDF. Une fuite de gaz rares, comme le Xénon et le Krypton s’est déclarée au sein du réacteur. Problème, « plutôt que d’appliquer des seuils qui auraient dû conduire à arrêter le réacteur, l’État Chinois a choisi d’augmenter les seuils admissibles pour permettre au réacteur de continuer à fonctionner ». Un scénario à la Tchernobyl a été dans un premier temps imaginé avant que l’incident soit maîtrisé. Un choix qui aurait pu avoir des conséquences dramatiques. De son coté EDF reconnaît qu’il y a eu un incident mais que la situation est sous contrôle. La réputation de cette technologie dangereuse était déjà extrêmement mauvaise. Nul doute que cet accident viendra d’avantage la ternir. En France, championne du monde du nucléaire, ces types « d’incidents » sont fréquents. Mais vous n’entendrez jamais parler de ça dans les grands médias. Avec un parc de plus de 56 réacteurs nous vivons sur une véritable bombe à retardement.

➡️ États-Unis : Le 14 juin une usine Lubrizol prend feu à Rockton. Les images de l’épaisse fumée noire traversant le ciel de cette petite ville de l’État de l’Illinois font froid dans le dos. Elles rappellent terriblement celles de Rouen en 2019. L’entreprise, nommée Chemtool, fabriquait comme l’entreprise rouennaise des huiles et des lubrifiants pour l’industrie. Il est aujourd’hui difficile de mesurer précisément l’impact d’un tel incendie sur la santé des habitants et sur l’environnement. Peut-être dans 5 ou 10 ans, quand les premiers cancers apparaîtront.
Le désastre climatique et les catastrophes industrielles sont les périls du siècle. Ils sont les deux faces d’une même pièce sombre et mortifère. La surexploitation des ressources et la mise en danger du vivant vont de pair. Nous connaissons les responsables. L’équation est simple : détruire le capitalisme ou le capitalisme détruira tout.

(post de Nantes Révoltée)

Tout brûle déjà, et on se comporte en spectateur des désastres ?
Merdias et tyrans préfèrent regarder ailleurs

❄️ LE SENS DES PRIORITÉS SELON LE MONDE

La planète brûle, les catastrophes climatiques s’enchaînent mais il y a plus dramatique pour les journalistes du Monde : leurs futures vacances à Courchevel. Ils s’inquiètent du manque d’enneigement dans les stations alpines si la température globale augmentait de +4°C.
La catastrophe c’est l’absence de neige oui, c’est tout un monde alpin qui disparaît et nous apportons notre soutien aux camarades des montagnes qui voient un monde disparaître avec frayeur. Cela n’enlève rien à l’hypocrisie journalistique du Monde, qui évitera ainsi quelques entorses du genou.

(post de Nantes Révoltée)

Après le mois de juin le plus chaud jamais enregistré en Finlande et dans plusieurs régions en Suède, les températures frisent depuis dimanche les records absolus dans le Grand Nord de l’Europe, avec un thermomètre indiquant entre 30 et 35°C #AFP #AFPgraphics

Tout brûle déjà, et on se comporte en spectateur des désastres ?
2021 : partout des températures s’affolent

🛑GUERRE DES CLASSES🛑

Selon le classement de Challenges, le nombre de milliardaires français est passé de 95 à 109 en une année. L’augmentation du patrimoine des 500 plus grandes fortunes française a lui bondi de 30%. C’est la plus grande hausse depuis la création de ce classement en 1996 !
Dans le même temps, cette même France a franchi la barre des 10 millions de pauvres et des 300 000 SDF.
Mais pour le pouvoir (et les médias à sa botte) les criminels sont ceux qui osent balancer un peu de peinture sur l’un des bâtiments de ces milliardaires... Ou qui font des occupations chez Black Rock.
Surtout, ne changeons rien. Tout est tellement parfait.

(post de Cerveaux non disponibles)

Tout brûle déjà, et on se comporte en spectateur des désastres ?
La planète et ses habitants sont dévastés pour que des milliardaires et millionnaires se gavent d’argent, de pouvoir et de luxe, c’est beau l’économie de marché

Le système capitaliste est sain.

La preuve en dix jours de catastrophes...
- VIDEO : https://fb.watch/v/3F9r8RjZT/

Tout brûle déjà, et on se comporte en spectateur des désastres ?
Les élus, même soit-disant écologistes, ne proposent qu’un avenir de mort-vivant

« Fort opportunément [comme un bon gros opportuniste, ceinture noire de démagogie, et même apôtre de la religion du démagogisme] je serai le candidat du juste milieu, de l’équilibre parfait, de la transition durable [© YAB], ni trop salé, ni trop sucré, ni trop chaud, ni trop froid, ni trop capitaliste, ni trop anticapitaliste, ni de droite, ni de gauche, ni honnête, ni malhonnête, ni ketchup, ni moutarde. Pour un futur ni mort ni vivant, mais mort-vivant, votez pour moi. »

Divers

Tout brûle déjà, et on se comporte en spectateur des désastres ?
Tout est pollué, contaminé, partout. Ce système est irréformable, il est intrinsèquement mauvais quelle que soit la bonne ou la mauvaise volonté de ses acteurs

🌩️APOCALYPSE NOW🌪️

Tempête de grêle géante au sud de Milan, où certains grêlons ont dépassé les 8cm ! On a comme l’impression que la planète essaie de nous envoyer un message depuis quelques temps... Mais lequel ???

(post et vidéo sur Cerveaux non disponibles)

- Selon les libéraux :

La planète dit bien sûr qu’il faut doper davantage la croissance économique pour avoir les moyens de lutter contre les effets néfastes de la croissance


Forum de l’article

Répondre à cet article

modération a priori

Attention, votre message n’apparaîtra qu’après avoir été relu et approuvé.

Qui êtes-vous ?
[Se connecter]
Ajoutez votre commentaire ici

Ce champ accepte les raccourcis SPIP {{gras}} {italique} -*liste [texte->url] <quote> <code> et le code HTML <q> <del> <ins>. Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

Partagez la page

Site réalisé avec SPIP | | Plan du site | Drôme infos locales | Articles | Thèmes | Présentation | Contact | Rechercher | Mentions légales | Suivre la vie du site RSS 2.0
Médial local d'information et d'expression libre pour la Drôme et ses vallées, journal local de contre-pouvoir à but non-lucratif, média participatif indépendant :
Valence, Romans-sur-Isère, Montélimar, Crest, Saillans, Die, Dieulefit, Vercheny, Grane, Eurre, Loriol, Livron, Aouste sur Sye, Mirabel et Blacons, Piegros la Clastre, Beaufort sur Gervanne, Allex, Divajeu, Saou, Suze, Upie, Pontaix, Barsac, St Benois en Diois, Aurel...
Vous avez le droit de reproduire les contenus de ce site à condition de citer la source et qu'il s'agisse d'utilisations non-commerciales
Copyleft