Sur la situation politique et sociale, et sur l’alliance gauche bourgeoise et extrême centre

Comment sortir de la nasse et de la répétition des échecs ?

dimanche 19 octobre 2025

Quelques articles sur la situation politique, sur le problème persistant du PS, sur les limites des réponses électorales, et sur les revendications démocratiques radicales.
Les réformes politiciennes ne fonctionnent pas pour une crise de régime. Constituante imposée par en bas, révolution, mouvement social radical ? Ou mainmise croissante de l’extême droite ?
Pour ça il faudra forcément sortir de l’encadrement institutionnel et de l’encadrement des partis et syndicats de gauche.

Situation politique et sociale : 7 faits à intégrer si l’on veut avancer

Chutes de ministres, recompositions politiques à répétition, sondages contradictoires, appels à “l’unité républicaine” ou à “l’union de la gauche”… Derrière cette confusion organisée, des lignes de fond se dessinent. Le macronisme s’enfonce dans l’autoritarisme, la gauche bourgeoise s’enferme dans un rôle d’appoint, les directions syndicales étouffent la conflictualité, et la menace d’une extrême droite au pouvoir sert d’alibi à toutes les renonciations et les compromissions. Comprendre ce moment suppose donc de se défaire de certaines illusions : celle d’un pouvoir encore solide, celle d’une alternance possible dans le cadre existant, celle enfin d’un simple “retour de la rue” comme solution miracle. Car la crise que nous vivons n’est pas seulement gouvernementale : elle touche à la représentation elle-même et au capitalisme qui perd, dans le monde entier, de sa légitimité. C’est pourquoi nous proposons ici six constats qu’il nous semble nécessaire de regarder en face si l’on veut réellement avancer : saisir pourquoi Macron tient encore malgré tout, pourquoi la gauche bourgeoise le maintient au pouvoir, pourquoi les mobilisations piétinent, et comment sortir de cette impasse autrement qu’en attendant l’inévitable victoire du Rassemblement national.
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Cette ambiance dit aussi quelque chose du climat autoritaire : persister, après autant d’échecs, à nommer des gouvernements qui sont identiques aux précédents gouvernements macronistes alors que ces derniers ont perdu les élections, ce qui ne peut aboutir qu’à de nouvelles censures, montre un rapport extrêmement hostile à la démocratie. Une citation plus ou moins apocryphe d’Einstein dit que “la folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent”. La mégalomanie de Macron pose des questions de cet ordre, mais ce n’est pas l’angle le plus intéressant : en fait la structure même de la Ve République (et des régimes ultra-verticaux en général) favorise justement ce type de profils.
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La situation actuelle (...) rappelle davantage la République de Weimar en Allemagne (1918-1933) : les socialistes allemands ont passé leur temps à servir de force d’appoint au bloc central en pensant contenir la catastrophe. C’est au final ce bloc central qui a mis Hitler au pouvoir.
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Mais dans la configuration actuelle, c’est bien le PS qui maintient, activement ou passivement, les gouvernements de Macron au pouvoir : à chaque chute, ils retournent négocier et tentent d’obtenir, pour la forme, des concessions purement symboliques pour ne pas perdre la face. La dernière fois, c’était le “conclave sur les retraites” (qui n’a produit aucun résultat), cette fois-ci c’est la “suspension” de la réforme, qui offre une porte de sortie salutaire aux macronistes dont certains membres éminents (comme Elisabeth Borne) se demandaient s’ils n’allaient pas devoir la lâcher entièrement. Le PS a fait gagner du temps au macronisme et fait croire à de possibles inflexions. En obtenant une suspension, ils ne lui arrachent rien de tangible et nous infligent donc un projet de budget à nouveau très agressif. Ce cinéma des faux “compromis” anti-censure a lieu constamment depuis 2022 et, pendant ce temps, les gouvernements macronistes continuent d’opprimer la population… Grâce au soutien du Parti socialiste, véritable assurance-vie de Macron.
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Car les manifestations peuvent jouer un rôle, mais non décisif. On a vu des manifestations absolument massives en 2023 : la macronie a réagi de façon « vu et s’en fout ».
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Toutefois, ce qui permettrait vraiment que la macronie se termine par un départ anticipé, ce serait un blocage de l’économie : ce qui passe avant tout par des grèves reconduites et importantes. Nous ne sommes pas les seuls à être arrivés à cette conclusion : les Italiens fin septembre, les Belges le 14 octobre, ont utilisé le slogan “bloquons tout”, tandis qu’ailleurs dans le monde, ce sont des émeutes qui font trembler voire dégager des dirigeants, comme au Pérou, au Népal et à Madagascar.
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non seulement le mouvement du 10 a été massif, pour un mouvement auto-organisé et radical (des centaines de milliers de personnes), mais la date du 18 a réuni plus d’un million de personnes alors que l’implication des directions syndicales était loin d’être forte. Mais après ce succès inespéré, les directions des syndicats ont réussi à affaiblir le mouvement avec des mots d’ordre absolument minimaux et donc démotivants, en refusant complètement d’investir le terrain politique – alors même que la haine de Macron est un ciment des luttes sociales depuis bientôt dix ans. D’abord, ces directions ont cassé le rythme du mouvement en imposant une pause afin d’attendre le résultat d’un hypothétique “ultimatum”. Ensuite, elles ont légitimé le gouvernement Lecornu comme un interlocuteur valable (alors que la CGT avait appelé à voter NFP). Tout en proposant comme seul moyen d’action ce qui n’avait pas marché en 2023, les grèves saute-moutons, une journée par-ci par là, largement anticipé par les entreprises et totalement démotivant pour la plupart des gens. Il se produit alors un cercle vicieux bien connu désormais : face à ces propositions de journées isolées et indolores à répétition, les gens se démobilisent, les effectifs baissent et les syndicats peuvent expliquer que c’est de la faute des autres.
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La difficulté à mobiliser dont témoignent de nombreux syndicalistes vient aussi de la précarisation, de l’éclatement des collectifs de travail, des “trahisons” répétées de la gauche politique, d’un perfectionnement et d’un renforcement des politiques et du logiciel néolibéral… Mais disons qu’il est certain que ça n’aide pas. Le mouvement du 10 septembre à lui seul n’est pas parvenu à mettre en place des cadres organisationnels susceptibles de permettre un mouvement social de longue durée, et ses militants n’ont pas coupé le cordon avec l’intersyndicale : le 18 septembre a été perçu comme un relais possible sur lequel s’appuyer. A tort, puisqu’il s’est agi d’un enterrement. Ensuite, on ne peut pas en vouloir aux “gens” qui ne se mobilisent pas et ne se mettent pas en grève, comme le font nombre de syndicalistes agacés par nos critiques, quand ce sont les syndicats qui conservent – c’est la loi – le monopole des préavis de grève.
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“Le mouvement contre la réforme des retraites, c’est vraiment l’illustration la plus éclatante de l’impuissance organisée par les bureaucraties syndicales. Une participation énorme aux manifestations, comme on n’en avait plus vu depuis longtemps, même lors de la mobilisation contre la Loi Travail au printemps 2016, avec des sondages assurant le soutien des trois quarts de la population, bref les conditions subjectives étaient réunies”. Nous sommes malheureusement dans cette situation. C’est pourquoi il nous faut développer des formes d’autonomie : ne pas attendre les directives des partis politiques et des syndicats, former des groupes affinitaires et/ou de citoyens pour agir de différentes façons, essayer de nous mettre en grève et de motiver nos collègues à le faire… Bien sûr cela peut et doit se faire avec des syndicalistes (lorsqu’ils sont présents), mais nous avons toutes et tous intérêt à ce que les bases syndicales – qui parviennent, elles, à des victoires dans leurs entreprises – débordent elles aussi leurs directions qui se sont objectivement révélées incapables d’obtenir des résultats depuis des décennies.
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Peut-être bien qu’il va falloir cesser de compter sur les syndicats pour organiser notre résistance au capitalisme. Quand même la direction de Sud-Solidaires, syndicat pourtant très à gauche, imprégné d’idéaux autogestionnaires et libertaires, participe et se tient solidaire de l’intersyndicale, que peut-on encore attendre, au niveau national, des syndicats ? Si le problème ne se situait qu’à l’échelle nationale, on pourrait espérer un élan des “bases” : mais même depuis le niveau local, nous recevons de nombreux témoignages de syndicalistes “déter” qui se font plus ou moins gentiment tacler par leur hiérarchie et dont l’énergie est bouffée par les conflits internes qu’ils doivent endurer pour pouvoir mener des mobilisations plus radicales et ne pas s’en tenir à la routine déprimante qu’elles et ils sont nombreux à ne plus pouvoir supporter.
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La seule chose qui peut faire dérailler ce scénario (le choix un peu piteux entre extrême droite ou “barrage”) c’est précisément un mouvement social fort, car c’est justement dans ces situations où l’extrême droite a, elle, « le cul entre deux chaises » et est in fine, en tant que représentante de « l’ordre », contrainte de se positionner contre des mouvements pourtant très populaires dans l’opinion. En septembre, au plus fort du mouvement social, le RN n’avait rien à dire. Ses sujets n’étaient pas à l’ordre du jour, car le pays débattait de la taxation des riches.
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Toutefois, s’il est intéressant d’épouser ce mot d’ordre (“Macron démission”) – du simple fait qu’il est celui spontané des mouvements populaires des dernières années et qu’il a l’avantage d’être transpartisan – on ne peut pas s’en contenter : la démission de Macron seule règle des choses pour la classe dominante, moins pour nous. Elle marque un vrai coup contre la bourgeoisie européenne mais elle a un vrai intérêt seulement si l’objectif est bien de défaire non seulement Macron mais aussi les intérêts qu’il représente et les politiques qu’il promeut.
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La seule chose qui peut faire dérailler ce scénario (le choix un peu piteux entre extrême droite ou “barrage”) c’est précisément un mouvement social fort, car c’est justement dans ces situations où l’extrême droite a, elle, « le cul entre deux chaises » et est in fine, en tant que représentante de « l’ordre », contrainte de se positionner contre des mouvements pourtant très populaires dans l’opinion. En septembre, au plus fort du mouvement social, le RN n’avait rien à dire. Ses sujets n’étaient pas à l’ordre du jour, car le pays débattait de la taxation des riches.
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La situation politique est potentiellement explosive car nos adversaires sont très affaiblis, mais nous nous heurtons une fois de plus à des représentations politiques ou syndicales qui ne sont pas fiables : nous ne pouvons plus nous reposer sur elle pour exploiter la situation et en tirer parti pour nous toutes et tous, la majorité de la population qui subit la violence du macronisme. Directions syndicales comme gauche modérée (PS, PCF, EELV) participent pleinement à cette opération de manipulation de masse – a fortiori très répétitive – qui participe à faire gagner du temps au macronisme en faisant croire à des inflexions, des compromis, des évolutions de fond qui n’existent que dans l’imagination de Sophie Binet, Olivier Faure ou Marine Tondelier, tandis que la France insoumise ne cherche des résolutions de crise que par la voie électorale. Nous ne pouvons donc plus compter sur eux – désormais tout le monde en est convaincu – mais nous ne disposons apparemment pas encore de l’élan, des collectifs et de la culture de l’action politique autonome, à la fois radicale et massive, qui nous permettrait d’avancer sans eux, et d’aller loin.

- voir aussi :

« Ve République à l’agonie. Et maintenant ? » Avec A. Kazib, S. Kouvélakis, E. Mérieau, E. Marcel…
par [Révolution Permanente->https://www.youtube.com/@revolution_permanente]
https://youtu.be/QJfP72wfjYk
Sur la situation politique et sociale, et sur l’alliance gauche bourgeoise et extrême centre

Lecornu sauvé par le PS : la construction d’un nouveau pôle politique

« Arrêtez avec l’histoire du NFP ! » Olivier Faure, 16 octobre, BFM

Jeudi 16 octobre : 271 députés votent pour la motion de censure déposée par LFI contre le gouvernement Lecornu. Il ne manque que 18 voix pour renverser le Premier ministre. La quasi-totalité des députés du Parti Socialistes lui ont apporté leur soutien, et sauvent donc son gouvernement.

Pourtant, personne n’aurait parié il y a encore une semaine sur son maintien. Même les meilleurs spécialistes de la vie politique ne voyaient pas comment, mathématiquement, ce Premier ministre qui avait démissionné au bout d’une nuit, avant d’être renommé de façon pathétique, et qui a composé un gouvernement plus minoritaire et isolé que jamais, pouvait encore tenir. En effet, étant donné la composition du gouvernement, à droite toute, personne ne pensait que le PS puisse valider cette mascarade, ne serait-ce que par stratégie électorale. Comment les socialistes auraient pu, à quelques mois des élections municipales, trahir intégralement le mandat du Nouveau Front Populaire qui leur a permis de survivre, et servir de bouée de sauvetage à un régime en phase terminale ? Et pourtant, ils l’ont fait !

L’histoire est cyclique. En 2012, on oublie souvent que le Parti Socialiste disposait de tous les pouvoirs. À l’époque, il vient de gagner la présidentielle haut la main contre Sarkozy, il a une large majorité à l’Assemblée Nationale et il est même majoritaire au Sénat, ce qui est rarissime et qui lui aurait permis de voter des avancées sociales sans difficulté. Le PS a même le pouvoir dans la plupart des régions et des grandes villes. Il est hégémonique, la population a voté à gauche, la voie est libre.

Que va faire le PS ? L’une des politiques les plus violentes, autoritaires et anti-sociales de l’histoire de France. Casse méthodique du code du travail, baisse des retraites, état d’urgence, généralisation du LBD, loi sur la déchéance de nationalité… Dès le début de son mandat, le PS lance une attaque militarisée de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, puis assassine le jeune écologiste Rémi Fraisse dans le Sud-Ouest. Il nomme un fraudeur fiscal notoire, Jérôme Cahuzac, comme ministre des comptes publics, et un type de droite radicale, ultra-minoritaire au sein même du PS, Manuel Valls, aux postes clés. Le PS va même utiliser le 49.3 pour imposer la Loi Travail en 2016, car en dépit de sa majorité dans les urnes, il a décidé d’appliquer une politique tellement réactionnaire qu’il se retrouve en difficulté. Sur tous les plans, le quinquennat Hollande ira beaucoup plus à droite que celui de Sarkozy, et crée ainsi la situation abominable que nous connaissons.

La bascule néofasciste ne date pas de Macron, elle a été organisée par Hollande et Valls. C’est sous ce quinquennat que les digues explosent. Et c’est lors de son mandat qu’Hollande propulse un obscur banquier sous cocaïne, que personne ne connaît, comme Ministre de l’économie. Il s’appelle Emmanuel Macron, il utilise ce poste en or pour organiser, avec l’argent public, des dîners de luxe à Bercy avec des grands patrons, et récolte des fonds pour sa campagne. Macron n’est qu’une émanation du PS. Finalement, il est logique que Macron soit sauvé 10 ans plus tard par le parti qui l’a créé.

Même quand on s’attend au pire de la part du PS, on arrive quand même à être surpris et déçu. Le 16 octobre, après ce coup de théâtre, des journalistes tentent de poser des questions sur le NFP à Olivier Faure. Celui-ci leur lance avec dédain : « Arrêtez avec l’histoire du NFP ! » Ne jamais respecter le mandat des électeurs est tellement banal dans ce parti que cette simple question irrite le chef du PS. Bizarrement, cette séquence ne tournera pas en boucle à l’écran, on ne traitera pas Faure d’autocrate, de tyran, de chef d’une secte. Ce traitement est réservé à LFI.

Voici donc ce que le PS va valider : un budget 2026 d’une extrême violence, qui va pénaliser l’écrasante majorité de la population, et préserver les ultra-riches. Les diverses allocations, dont l’allocation logement, les aides à la garde d’enfant, le RSA, la prime d’activité et autres seront « gelées ». Cela veut dire qu’elles vont baisser : quand on fait stagner une allocation alors qu’il y a de l’inflation, vous la diminuez en valeur réelle. Les allocations familiales, la prime de naissance ou à l’adoption, l’allocation de rentrée scolaire, l’allocation forfaitaire pour le décès d’un enfant, l’indemnité journalière… diminuent. Le RSA également, de même que l’allocation adulte handicapé. C’est une fragilisation des plus fragiles.

Les exonérations sociales salariales seront supprimées pour les apprentis pour tout nouveau contrat conclu à partir de cette date. Cela veut dire que les apprentis seront moins payés ou tout simplement pas embauchés, alors qu’ils subissent déjà une précarité terrible et des conditions de travail insécurisantes. Les tickets resto et chèque-vacances, qui sont des compléments de salaires, ne seront plus exonérés de taxes, ce qui veut dire que les patrons en donneront moins à leurs salariés. Les mutuelles seront surtaxées, ce qui se répercutera sur leurs coûts pour les particuliers. La sécurité sociale étant abîmée, on force les gens à avoir une mutuelle, qui désormais est de plus en plus chère.

Surtout, les « franchises médicales » vont doubler, c’est-à-dire la somme non remboursée chez un médecin, pour un médicament ou un transport médical. Une attaque de la sécu de plus. Enfin, dans ce projet, les ultra-riches sont totalement épargnés, plus encore que dans le plan proposé par Bayrou au début de l’été. La situation est donc pire encore qu’il y a trois mois !

En échange de ce plan d’austérité qui représente 31 milliards de coupes dans les dépenses publiques, un « décalage » de quelques mois de la réforme des retraites. Et le pire, c’est que cette fameuse suspension risque d’être annulée : la mesure devra être votée au sein du budget brutal que nous venons de détailler, et a ensuite de forte chance d’être supprimée par le Sénat ou censurée par le Conseil Constitutionnel. La seule « concession », minable, mise en avant par le PS a donc très peu de chance de se réaliser.

Les socialistes sont-ils profondément stupides ? C’est une hypothèse qui tient la route. Mais le plus logique, c’est qu’ils font le pari d’une recomposition politique. Le PS rejoint le bloc « central » avec les macronistes et LR, dans l’objectif d’une nouvelle coalition centriste et « raisonnable » aux prochaines élections. Il veut occuper l’espace qui sera laissé vacant par le départ inéluctable de Macron, par exemple avec Glucksmann, qui en est la pâle copie. À en juger par le soutien de la meute médiatique au PS et à Glucksmann, ce plan pour maintenir l’ordre et poursuivre le saccage est un pari à prendre au sérieux.

Quoiqu’il en soit, pour les partis de gauche, ne pas considérer le PS comme un ennemi politique à faire disparaître au plus vite, et continuer à les voir comme des « partenaires », ne serait-ce qu’un jour de plus, serait une erreur fatale.

- source, avec des liens : https://contre-attaque.net/2025/10/17/lecornu-sauve-par-le-ps-la-construction-dun-nouveau-pole-politique/

- voir aussi : Pour sauver Lecornu et le PS, les médias des milliardaires mettent le paquet (...) Cette semaine, c’est le retour à l’ordre. Par une incroyable magouille politicienne, et une semaine de clowneries sans précédent, Sébastien Lecornu s’assure de rester à la tête du gouvernement grâce au PS. Pour faire valider cet extraordinaire retournement de situation dans les esprits, les médias des milliardaires sortent l’artillerie lourde. (...)


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