Vu que cette question empire, nouvelle alerte sur l’augmentation dramatique du nombre d’adultes et enfants en surpoids ou obèses.
Il ne s’agit pas d’une épidémie, mais de la conséquence directe du modèle capitaliste et de l’incurie étatico-gouvernementale structurelle.
Pour le système en place, il ne s’agit pas d’un échec, mais de la réussite éclatante de la domination capitaliste, des inégalités sociales, du développement lucratif du système agro-industriel et industrialo-alimentaire.
Non seulement un très grand nombre d’humains n’ont pas accès à des aliments de qualité et à la possibilité de composer des repas équilibrés, mais le mode de vie "moderne" et les pubs incitent à mal manger.
S’il y a autant de "maladies de civilisation" et qu’elles ne baissent pas, voire augmentent sur le plan global, c’est que la civilisation industrielle est un problème.
Rafistoler, tenter de prévenir, rechercher de nouveaux remèdes à coup d’IA ne nous sortira pas de ces problèmes qui découlent d’un système politico-économique.
Il n’y a donc pas de fatalité, et un modèle social ça se change, ça se renverse.
- En 2050, plus de la moitié de l’humanité pourrait être en surpoids ou obèse (...) Ils estiment que l’épidémie pourrait toucher 3,8 milliards d’adultes et un tiers des enfants et adolescents, « une menace sans précédent de maladie et de décès prématurés » partout dans le monde. (...) une tragédie profonde et un échec sociétal monumental
- L’obésité et le surpoids continuent leur progression dans le monde, 60 % des adultes et un tiers des enfants seront concernés en 2050 si rien ne change - Une étude publiée, mardi, dans « The Lancet » alerte sur l’amplification de la pandémie d’obésité et de surpoids, si rien n’est fait pour inverser la tendance. La hausse toucherait particulièrement l’Asie et l’Afrique.
- Plus de la moitié des humains en surpoids ou obèse en 2050 ?!
- L’obésité favorise de nombreuses graves conséquences et maladies
Six cancers en hausse chez les 15-39 ans
La malnutrition, comme l’obésité et les cancers (également en augmentation et frappant de plus en plus jeunes), sont, au moins partiellement, des maladies politiques.