Vous êtes mal informés.
Notre civilisation est née proche du berceau de l’humanité.
Nous ne sommes pas seulement français, pas plus que nous ne sommes uniquement européens. Nous sommes indo-européens.
Ce qui suggèrerait la révolution française comme un argument bourgeois.
Ce qui existait en Inde existe encore aujourd’hui : une tri-partition entre les « sachants », les « organisateurs », grands administrateurs et cadres militaires, puis viennent les possédants et possédés, rivés à la matière.
Autrement dit, dans la « vision » indienne, une tri-partition étagée.
D’abord en haut de la pyramide les scientifiques et religieux, puis en considération de la gestion d’un état, les militaires et gestionnaires, et, sans que cela ne soit péjoratif, la plèbe.
- Noir, impasse et perd
Avant la révolution française, cette tri-partition était de facto, établie dans la même veine :
la noblesse (le roi), les écclésiastes (le clergé) et , de façon péjorative, le tiers-état.
La révolution française a changé le paradigme en simplifiant l’équation :
il est devenu binaire. Cela est beaucoup plus commode dans une perpective de clivage : diviser pour mieux régner. Ainsi, et d’autant plus de nos jours, il s’agit d’opposer le marxisme au capitalisme.
La réalité en plus cruelle : que sont devenus ces penseurs, ces scientifiques et religieux d’une grande sagesse ? Avec ce clivage, je vous laisse apprécier ce constat : la vraie plèbe souffre d’un mal qui a un nom : les possédants sont devenus les nouveaux maîtres au détriment des possédés (...). Il n’y a pas de clivage : sans penseur, la civilisation indo-européenne a régressé au point où la question d’un conscensus civisationnel se pose. Quant aux guerriers, la France, hormis Napoléon, a plus accouché d’artistes et de diplomates que de stratèges, contrairement aux Allemands.
Quel intérêt un individu a-t-il à participer à la vie sociale, à apporter sa contribution, à apporter sa pierre à l’édifice ? Je vais prendre un raccourci en évoquant Rousseau : s’il n’y a aucun intérêt pour un individu à apporter sa contribution, s’il ne voit en l’Etat qu’un inconvénient, c’est que le « contrat social » a été, d’une façon ou d’une autre, rompu.
L’objet du présent billet est de poser cette question : pour quelles raisons nous sommes nous aventurés à élaborer cette idée : la liberté ?
D’ou nous vient cette idée ? D’autant qu’aujourd’hui, contrairement à certains systèmes pointés du doigt par ces pseudo-démocraties. il fait bon vivre à Moscou citée comme troisième ville au monde ou les citoyens vivent bien (source : lemonde.fr). Moins d’instabilité, et surtout des plans pour l’avenir quand nous n’en n’avons aucun.
Je vous repose la question, si celle-ci à une réponse :
D’ou vient cette idée absurde qu’est la liberté ?
Dans tous les cas, je remercie les touristes qui ont fait le déplacement de Marseille à Bruxelles en passant par Paris. J’ai pu, à titre personnel, observer la médiocrité à l’ouvrage : 7000 policiers et gendarmes avec engins lourds ou cas où il faudrait jouer les épavistes.
Un leurre qui a permis d’observer les forces en présence.
Vous êtes prévenu.
Les possédants ont peur parce qu’il ne comprennent pas ce que le peuple entend sans le comprendre : le peuple veut sa liberté. Si cette volonté est niée, effectivement, et nul n’est besoin de faire appel à des théories fantasques telles que les remplacements, les déplacements...
les citoyens quitteront cette nation histoire de voir si l’herbe n’est pas plus verte ailleurs.
Et la France s’effondrera par un facteur déterminé : la dénatalité, déjà à l’oeuvre.
Sans consensus civisationnel la France mourra, et l’Europe avec.
Et contrairement à ce qu’aurait dit Bède le vénérable, le colisée sera toujours là.
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