Macrolepénisme & bloc bourgeois : les libertariens trumpistes sont lâchés

« Je considère que vous voulez appauvrir les milliardaires ! »

vendredi 15 novembre 2024

Nul besoin d’aller aux USA pour vivre l’ambiance brune du trumpisme, les macronistes and co le font très bien ici.
Flinguer les restes de "biens communs" et favoriser les milliardaires qui accumulent un pognon stratosphérique pour se torcher avec et déféquer sur la planète, c’est la mission que se donnent les macronistes. Ces libertariens extrême-droitisés n’ont rien à envier à Trump et Musk, ils suivent avec application leurs traces nauséabondes.

Trumpismes, extrêmes-droites et blocs bourgeois, main dans la main, ne font que recycler, brasser et relooker la même merde pour la faire bouffer aux masses à grand coup de propagande médiatique, de novlangue (en mode Big Brother dans 1984) et de répression.

Quand est-ce qu’on se délivrera des gouvernements et de ce qui va avec ?! (Etat, capitalisme, oligarques et technocrates...)

LE MINISTRE MACRONISTE DE LA FONCTION PUBLIQUE VEUT APPLIQUER LES "BONNES PRATIQUES" D’ELON MUSK

Il ressemble à un serveur de l’enseigne de hamburger Big Fernand, ou à une caricature du dessinateur Cabu, mais il est beaucoup moins sympa. Le ministre macroniste Guillaume Kasbarian est un capitaliste sauvage, un libertarien proche de l’extrême droite.
Ce mercredi 13 novembre, le ministre de la fonction publique de Macron a vivement salué Elon Musk sur Twitter :

« Félicitations d’avoir accepté ce grand défi ! Je me réjouis de partager avec vous les meilleures pratiques pour faire face à l’excès de bureaucratie, réduire les lourdeurs administratives et repenser les organisations publiques au bénéfice de l’efficacité des agents publics. »

Le milliardaire d’extrême droite, qui est notamment propriétaire de Tesla et de Twitter, vient d’être nommé par Donald Trump à la tête d’un ministère de l’« efficacité gouvernementale ». En clair, il est chargé de faire des coupes massives dans les services publics, de déréguler les règles de protection de l’environnement ou des travailleurs, et de licencier des fonctionnaires. Voilà la personne qui inspire le ministre français, et avec qui il veut partager les "bonnes pratiques".

En France, le ministre de l’intérieur défend les policiers, le ministre des armées qui défend les militaires, mais le ministre de la fonction publique, lui, a pour rôle d’humilier et de violenter les fonctionnaires dont il a la charge. Nous avons un gouvernement de guerre.

Pour rappel, Elon Musk est un chef d’entreprise originaire d’Afrique du Sud, où son papa possédait une mine d’émeraudes. Il a fait fortune avec l’application Paypal au moment du boom d’internet, avant de lancer un business de voitures autonomes et de partir à la conquête de l’espace. En 2022, Musk rachète le réseau social Twitter, licencie brutalement la moitié de ses employés, puis ré-autorise le compte de Trump tout en supprimant des centaines de comptes anticapitalistes et antifascistes.
Cette décision a été cruciale dans l’évolution politique des USA : c’est sur Twitter que Trump avait appelé au rassemblement devant le Capitole, et sur ce réseau qu’il avait axé la majorité de sa communication politique. Depuis le début de la campagne électorale de 2024, Musk s’est tellement impliqué en faveur de Trump qu’il a déclaré juste avant l’élection : « S’il n’est pas élu, je suis foutu ».
Le milliardaire a mis tous ses moyens au service du candidat d’extrême droite : il a participé à ses meetings, a publié des dizaines de tweets en sa faveur et a modifié les algorithmes de son réseau social pour mettre en avant les contenus pro-Trump et d’extrême droite. C’est une manipulation délibérée de l’opinion, qui a porté ses fruits. C’est la première fois qu’un réseau social mondial, qui compte plus de 600 millions d’utilisateurs actifs, est ouvertement consacré à faire élire un candidat.
Le rôle de X-Twitter sur la campagne aux USA a été considérable : c’est par ce canal que les fake news ont massivement pénétré l’opinion, recueillant des millions de likes et imposant certains sujets dans le débat public, concurrençant les médias traditionnels.

Elon Musk et Donald Trump partagent une haine commune des LGBT – Musk est en croisade contre les droits des trans – et une vision du monde misogyne – les deux ont été accusés d’agression sexuelle. Ils partagent la même obsession raciale autour de la démographie – Musk, père de 12 enfants, veut encourager les blancs et les « meilleurs » à procréer, et il s’alarme de la baisse de fécondité en Occident, dans une perspective eugéniste. Et surtout, les deux souhaitent une dérégulation économique totale – Musk est un libertarien qui rêve d’un capitalisme sans limite.

Il n’est pas étonnant que Musk fasse rêver Guillaume Kasbarian. Le ministre - qui est, rappelons-le, nommé dans un gouvernement illégitime et imposé en dépit du résultat des dernières élections - a annoncé un plan de destruction des arrêts maladies pour les fonctionnaires. En augmentant la durée de carence en cas de maladie, il va ponctionner le salaire des fonctionnaires en arrêt, pour réaliser, selon ses annonces 1,2 milliard d’euros d’économies. C’est une attaque gravissime contre le droit du travail et la sécurité sociale. Cela veut dire que des fonctionnaires iront travailler en étant malade, ou seront contraints de s’appauvrir. Depuis sa nomination, Kasbarian multiplie les déclarations humiliantes contre les personnels dépendant de son ministère.

Auparavant, il avait porté la loi dite « anti-squatteurs », dénoncée par toutes les associations pour le droit au logement et pour l’aide aux sans-abris. Cette loi a renforcé les sanctions envers les personnes qui occupent des logements vides en les punissant de prison. Elle a aussi permis aux propriétaires de faciliter la résiliation d’un bail et d’expulser des locataires très rapidement, en cas d’un loyer impayé. C’est une fabrique à SDF, une loi qui vise à jeter encore plus de monde à la rue. La Fondation Abbé Pierre dénonçait un « véritable engrenage répressif ». Depuis, le nombre de sans-abris morts à la rue a battu un record. Kasbarian est l’incarnation du néolibéralisme violent et meurtrier.

Nous avons des libertariens d’extrême droite au pouvoir. Des trumpistes. Avant même l’annonce des résultats définitifs des élections aux USA, Macron était d’ailleurs l’un des premiers présidents du monde à féliciter Donald Trump.
Le 18 octobre dernier, la sœur du président Argentin d’extrême droite Javier Milei choisissait de faire son premier déplacement officiel en France. Elle avait été reçue à l’Élysée par Brigitte Macron. La sœur du dirigeant qui impose à son pays un traitement de choc ultra-libéral et répressif, et qui est aussi la secrétaire générale de la présidence, a discuté avec Brigitte Macron « de l’attrait des investisseurs français en Argentine » mais aussi abordé la question de la « bataille culturelle » que mène le gouvernement d’extrême droite argentin.

Elon Musk, Donald Trump, Javier Milei ou Macron : l’amicale du capitalisme barbare affiche sa solidarité dans la guerre de classe.

- source, avec des liens en compléments : https://contre-attaque.net/2024/11/13/le-ministre-macroniste-de-la-fonction-publique-veut-appliquer-les-bonnes-pratiques-delon-musk/

Macrolepénisme & bloc bourgeois : les libertariens trumpistes sont lâchés

Éric Woerth : Appauvrir les milliardaires ?

« Je considère que vous voulez appauvrir les milliardaires ! »

Ce n’est pas une blague, ni la caricature d’un patron cupide dans une comédie. Ce sont les mots bien réels du député macroniste Éric Woerth, ancien ministre de Sarkozy, à l’Assemblée Nationale. Il a prononcé cette phrase adressée aux députés du Front Populaire, le 25 octobre 2024, lors d’un débat sur la taxation des ultra-riches, dans le cadre de débats sur le budget de l’État.

La bourgeoisie radicalisée a totalement perdu pied avec le réel. Entre 2009 et 2020, le patrimoine des plus riches français a augmenté de 439%. Leur fortune a ainsi été multipliée par plus de 5, c’est un record du monde ! En 2024, les 500 plus fortunés de France possèdent près de 1200 milliards d’euros. Ces grandes fortunes détiennent 47% du PIB contre 6% il y a 25 ans. Il y avait 50 milliardaires français en 2011, 95 en 2020 et 147 cette année.

Ce sont donc des accumulations colossales de capitaux, des fortunes inédites, concentrées entre une infime poignées de mains, pendant que la précarité explose en France. La France subit depuis 20 ans un pillage en règle au profit d’une poignée de milliardaires qui concentrent des sommes qu’ils ne pourront jamais dépenser.
Pour formuler ou même imaginer l’idée “d’appauvrir les milliardaires”, il faut avoir aboli toute notion de morale et de dignité. Dans un monde idéal, il n’y aurait d’ailleurs ni milliardaires, ni exploitation, ni argent.

Il faut dire qu’Éric Woerth n’a jamais réellement travaillé de sa vie. Il fait ses études à l’université de droite Assas, puis au sein de l’école de commerce HEC, avant d’entamer une carrière dans le domaine du conseil en entreprise. En pleine vague néolibérale des années 1980, Woerth s’occupe d’optimisation fiscale. L’argent coule à flot dans le privé et il faut aider les grands patrons à payer moins d’impôts. Son cabinet disparaît après le « scandale Enron » : il s’agit d’une affaire de fraude et de manipulation financière découverte en 2001. L’entreprise concernée est celle pour laquelle travaillait son cabinet.

En parallèle, Éric Woerth est « directeur financier » du RPR, le grand parti de droite de l’époque, et gère la campagne de Jacques Chirac de 1995. Sous Chirac, il est nommé ministre et se charge du « non-remplacement » d’un fonctionnaire sur deux partant en retraite. C’est la destruction à l’explosif des services publics, en réduisant massivement les effectifs. L’absence de gares et de postes dans les petites communes, les fermetures de services d’urgence, les classes surchargées, tout cela résulte de mesures prises par Éric Woerth et ses copains dès les années 1990.

Woerth est ensuite trésorier de l’UMP, et crée « une structure dédiée à la collecte de l’argent auprès des plus grandes fortunes » pour la campagne de Sarkozy, dont il gère le financement. Opération réussie, puisque le candidat reçoit plus de 9 millions de « dons ». Mais leur provenance reste occulte : Éric Woerth reconnaîtra devant les juges d’instruction avoir distribué plusieurs dizaines de milliers d’euros d’argent liquide d’origine anonyme durant la campagne de 2007.

La même année, il déclare sur de nombreux plateaux de télévision qu’il y a trop de lits d’hôpitaux en France et se félicite : « Nous avons réduit le nombre d’hôpitaux en France, et c’est une bonne chose ». Visionnaire.

Toujours en 2007, Éric Woerth fait décorer Patrice de Maistre, le gestionnaire de la fortune de la milliardaire Liliane Bettencourt, propriétaire du groupe L’Oréal. Patrice de Maistre dernier est fait chevalier de la Légion d’honneur, juste après l’élection de Sarkozy. Woerth est alors ministre du budget.

Trois ans plus tard, en 2010, Woerth est ministre du travail. Il lance une énorme attaque contre le système de retraites. Des millions de personnes descendent dans la rue, mais le projet passe. La même année, le ministre est soupçonné de prise illégale d’intérêts dans une affaire de vente de 57 hectares de la forêt de Compiègne.

En 2022, Éric Woerth rejoint Macron. Il est désormais mis en examen et est soupçonné d’avoir aidé au niveau fiscal Bernard Tapie. Le Groupe Bernard Tapie avait obtenu 408 millions d’euros d’argent public dans le cadre d’un litige sur autour de la vente d’Adidas. Alors qu’il était ministre du Budget, Éric Woerth avait permis au Groupe Bernard Tapie de payer seulement 43 millions d’euros de taxes.

En 2022, Woerth veut empêcher la gauche d’avoir la présidence de la commission des finances à l’Assemblée, et déclare : « Les Insoumis ont visiblement en tête de faire du contrôle fiscal. Ce que je n’ai pas entendu au Rassemblement National ». Traduction : il vaut mieux donner cette commission stratégique aux fascistes plutôt qu’à un mouvement qui pourrait obliger les plus riches à payer ce qu’ils doivent. Deux ans après, son camp a officialisé son alliance avec le RN.

En 2023, il défend avec virulence la nouvelle réforme des retraites avec ces mots : « À 65 ans, on vit sans problème particulier une bonne dizaine d’années ». Il oublie qu’à cet age, une partie des plus pauvres est déjà morte, et que l’espérance de vie en bonne santé est de 62 ans pour les hommes et 64 pour les femmes.

Éric Woerth est l’incarnation parfaite du riche parasite. Mélange public/privé, « optimisation » fiscale, pillage d’argent public, destruction du système de santé, gros salaire et copinage avec les riches, les voleurs et les fascistes… Et maintenant, ce brave homme, dont la vie entière a été consacrée à la destruction des biens communs, s’inquiète d’un « appauvrissement » des milliardaires qu’il a généreusement servi.

La bourgeoisie radicalisée pourrait s’appeler Woerth.

- source, avec des liens complémentaires : https://contre-attaque.net/2024/10/27/eric-woerth-appauvrir-les-milliardaires/

Macrolepénisme & bloc bourgeois : les libertariens trumpistes sont lâchés
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Karl Olive : la preuve vivante que l’extrême droite est au pouvoir

Le député macroniste appelle à interdire le plus grand parti de gauche, à déployer l’armée en banlieue et liquider l’État de droit

Qui doute encore que le macronisme est une nuance de l’extrême droite ? Certainement pas Karl Olive. Ce député radicalisé multiplie les propositions fascistes sans le moindre complexe.

Le 1er novembre, Karl Olive se rendait sur Radio J pour réclamer l’interdiction pure et simple du plus grand parti d’opposition et du premier mouvement politique de gauche en France : « Il faut interdire la France Insoumise qui est un danger pour la société ».

Non seulement les macronistes gouvernent avec le RN, mais ils veulent en finir avec ce qu’il reste d’apparence de pluralisme. Il ajoutait : « Je réclame que Jean-Luc Mélenchon soit fiché S, en ce sens qu’à la France Insoumise, ils passent leur temps à appeler au chaos ». Pour l’instant, tout le monde a remarqué que les responsables du chaos politique, social et écologique sont au gouvernement. Mais Karl Olive se moque de la réalité.

Le 31 octobre 2023, le député déclarait déjà sur la chaîne d’extrême droite Cnews : « Jean-Luc Mélenchon est un danger pour la société, il devrait être fiché S ». Il précisait : « Il est bien plus dangereux qu’un certain nombre de fichés S dans notre société ».

La fiche S a été créée sous le régime de Vichy par le fasciste René Bousquet, qui était alors directeur de la police française. Il organisait ainsi un gigantesque système de fichage, baptisé à l’époque « Fichier S » pour « Sûreté de l’État ». La Fiche S n’a jamais disparu, et elle est désormais célèbre puisqu’elle sert encore de nos jours à surveiller les opposant-es politiques mais aussi à les salir dans les médias.

Cette fiche n’a aucun caractère légal ni judiciaire. Elle est établie par les services de renseignement, et signifie pour les autorités qu’une personne peut « porter atteinte à la sûreté de l’État », notamment celles soupçonnées de « visées terroristes » ou de « menaces graves » contre les institutions.

Cette fiche permet une surveillance accrue et intrusive des personnes concernées. Le macronisme est tellement radicalisé à droite qu’il considère que Mélenchon, homme politique de gauche modérée, qui a lui même été visé par des tentatives d’attentats d’extrême droite, doit être fiché et surveillé comme un ennemi intérieur.

Dans la même interview, Karl Olive a réclamé l’envoi de militaires dans les banlieues pour, dit-il, provoquer « un électrochoc dans ce pays ». « Je pense qu’on devrait tester aussi le mix entre la police nationale, la police municipale et des militaires, pour envoyer un véritable électrochoc dans ce pays lorsqu’il y a de tels drames », a-t-il ajouté sur Radio J. Comme dans les dictatures latino-américaines des années 1970. « On pourrait très bien tester » cette mesure « à Marseille mais pourquoi pas aussi à Poitiers ». « Il y aurait un vrai message envoyé. Tolérance zéro », a insisté Karl Olive, pour qui les militaires ne seront « pas là pour faire de la figuration ». La France deviendrait donc un régime militaire, avec des soldats face à la population civile.

Le 1er septembre, Karl Olive proposait également sur France Info d’abolir l’État de droit. Il avait appelé à en finir avec la présomption d’innocence : « Je suis pour un délit de criminalité, je suis pour une présomption de culpabilité. Il faut que nous changions de logiciel, arrêtons la présomption d’innocence, allons vers la présomption de culpabilité ».

Autrement dit, ce député veut liquider la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui consacre que « Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable ». En d’autres termes, Karl Olive appelle à instaurer la dictature ou à revenir plusieurs siècles en arrière, au temps de l’inquisition.

Pourtant, par le passé, Karl Olive avait défendu la présomption d’innocence pour Macron, et en 2017 pour François Fillon. En fait, Karl Olive rêve d’un régime où l’on peut condamner les pauvres sans procès tout en permettant aux riches et aux puissants d’échapper à la justice.

Karl Olive est le genre de personnage typique de l’époque boueuse dans laquelle nous vivons. Avant d’être député, il était communicant sportif, travaillant pour Canal+ et I-Télé. Élu maire de Poissy, dans les Yvelines, Olive demande aux médecins de sa ville de limiter le nombre d’arrêts de travail des agents de la commune, en comparant les arrêts maladie et l’absentéisme. Les syndicats font alors le constat d’« une mafia politique » et d’« un management par la peur » au sein de la mairie. Karl Olive quitte ensuite l’UMP pour rejoindre Macron.

Habitué des déclarations débiles et dangereuses, il avait aussi réclamé « des lois d’exception » pour interdire la grève lors de compétitions sportives. Il a également été condamné pour prise illégale d’intérêt.

Résumons : un guignol appelle à abolir le premier parti d’opposition, à ficher les opposant-es, à déployer l’armée dans les rues et à instaurer un régime dictatorial pour enfermer sans jugement. Ces propos étaient encore réservés à une poignée de marginaux pétainistes et de néo-nazis il y a quelques années. Ils sont désormais au cœur du pouvoir. Olive en est fier, il est un proche de Macron.

- source et liens complémentaires : https://contre-attaque.net/2024/11/05/karl-olive-la-preuve-vivante-que-lextreme-droite-est-au-pouvoir/


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