Du 20 au 22 septembre
20h Introduction du festival
20h10 Lecture La Forteresse et le Poète
Lecture de textes issus de Forteresse Europe, enquête sur l’envers de nos frontières d’Émilien Bernard (Lux, 2024), Catalogue d’un exilé de Falmarès (Flammarion, 2023), L’Exil n’a pas d’ombre de Jeanne Benameur (Bruno Doucey, 2019). Création et lecture : Nadine Despert et Chloé Peytermann.
20h30 Film L’Audition de Lisa Gerig, Suisse, 2023
Quatre demandeurs d’asile déboutés revivent l’audition sur les raisons de leur fuite et mettent ainsi en lumière le cœur de la procédure d’asile. Les personnes interrogées parviendront-elles cette fois à décrire leurs expériences traumatisantes d’une manière qui satisfasse aux critères officiels ? Le film, en donnant un premier aperçu de la délicate situation de l’audition, remet en question la procédure d’asile elle-même.
10h Mini-conférence juridique L’externalisation des frontières
Comment les pays d’arrivée font sous-traiter la gestion des mouvements migratoires aux pays d’origine ou de transit. Par Julia Briland, juriste du droit d’asile.
10h30 Film Bye Bye Tibériade de Lina Soualem, France, Belgique, Palestine, 2023
Au début de la vingtaine, Hiam Abbass a quitté son village natal palestinien, s’est exilée pour poursuivre son rêve de devenir actrice en Europe, laissant derrière elle sa mère, sa grand-mère et ses sept sœurs. Trente ans plus tard, sa fille Lina, réalisatrice, retourne avec elle au village et interroge pour la première fois le choix audacieux de sa mère, et les choix de chacune des femmes de la famille. Véritable tissage d’images du présent et d’archives familiales et historiques, Bye Bye Tibériade est le portrait de quatre générations de femmes palestiniennes qui préservent leur mémoire intime et collective par la force de leurs liens, malgré l’éloignement, la dépossession et les déchirements.
12h Discussion entre Soraya Guendouz, directrice du centre de ressources Approches-Cultures-Territoires (Marseille) et l’association Mimesis - Arts-Actions- Recherche (Montélimar). Quel apport offre une recherche interdisciplinaire sciences & arts à l’histoire des migrations ? Pourquoi choisir l’échelle de l’intime, de la famille, des affects ? Quels sont les liens entre le matrimoine et l’histoire ?
13h Repas
14h Visite guidée de l’exposition Faire un pas de côté à l’Usine (Poët-Laval) par le photographe Nicolas Rivoire
15h Présentation du projet Carto Droma par Morgane Dujmovic, géographe et cartographe chargée de recherche au CNRS, membre de l’Institut Convergences Migrations et des associations Migreurop et Anafé.
Carto Droma est une cartographie collaborative de l’accueil dans la Drôme. Elle est destinée aux personnes qui arrivent ou qui sont déjà accueillies sur ce territoire, aux personnes qui les accompagnent et au grand public. Cette initiative rassemble depuis 2022 une dizaine de collectifs et associations. Ensemble, ils ont construit cette carte en ligne pour répertorier un maximum de lieux, d’acteurs et de ressources dans différents domaines de l’accueil. Ces catégories et ces informations ont été élaborées en fonction d’observations sur le terrain. Au fil de réunions et d’ateliers, une image a été produite au plus près de la réalité pour que l’information disponible puisse être à jour, utile et utilisée. Comme toute carte, Carto Droma est destinée à évoluer, c’est pourquoi la carte en ligne est collaborative : tout internaute peut l’alimenter et la partager. https://droma.gogocarto.fr/
15h45 Pause
16h15 Film Name Me Lawand d’Edward Lovelace, Royaume-Uni, 2022
Lawand est un garçon sourd de 5 ans originaire d’Irak. Sa famille fait tout pour déménager en Angleterre et l’inscrire à la Royal School for the Deaf Derby. Lawand s’épanouit, mais pourra-t-il y rester et y poursuivre son éducation ? Le réalisateur associe une caméra itinérante à une musique transcendante pour envelopper les spectateurs dans un monde intérieur largement dépourvu de langage parlé.
17h45 Discussion avec Roman Pétrouchine autour de sa pratique professionnelle et du film Name Me Lawand. Roman Pétrouchine est psychiatre et pédopsychiatre. Il a travaillé à l’Orspere-Samdarra (Centre de recherche et de soutien aux professionnels, articulé autour des questions de précarité, migration et santé mentale, Lyon) entre 2013 et 2020 et au Dispositif d’écoute transculturel de Vaise entre 2019 et 2022.
19h Repas
20h30 Là où murmurent les frontières. Performance cartographiée. Par Philippe Rekacewicz et Karen Akoka.
C’est un récit illustré à deux voix, une narration « dialoguée » accompagnée, dans un environnement sonore et musical par des images, des vidéos et surtout des cartes. Des cartes faites à la main, quelquefois des brouillons qui dévoilent ce qui échappe souvent à l’oeil nu. La narratrice et le narrateur se font ici traducteurs de ce que ces cartes murmurent pour donner à voir et entendre ce monde de frontières, ses entraves, ses passages et surtout ses voyageuses et voyageurs qui se fracassent le corps et l’âme sur ses barrières, ou les traversent doucement.
Philippe Rekacewicz, parfois surnommé Reka, est un géographe, cartographe et information designer français. Il a été un collaborateur du Monde diplomatique. Il a également dirigé le département cartographique d’une unité du Programme des Nations-Unies pour l’environnement (PNUE) délocalisée en Norvège. Impliqué dans des projets de recherche qui explorent les rapports entre cartographie, art, sciences et politique, il participe à divers projets « carto-artistiques » liés au mouvement de la cartographie radicale, sensible et expérimentale. Il est actuellement chargé de recherche au département des Sciences sociales de l’université de Wageningen (Pays-Bas), et enfin co-fondateur avec Philippe Rivière du site visionscarto.net et auteur, avec Dominique Vidal, de Palestine-Israël : une histoire visuelle, Seuil, 2024.
Karen Akoka est sociologue, maîtresse de conférences en Science politique à l’université Paris - Nanterre, chercheuse à l’Institut des Sciences sociales du politique (ISP) et fellow de l’Institut Convergences Migrations. Elle a auparavant travaillé plusieurs années au Haut-Commissariat des Nations - Unies pour les réfugiés (HCR) à Jérusalem. Ses recherches portent sur le gouvernement des migrations internationales et en particulier sur les pratiques étatiques de classification, de hiérarchisation et de (il)légitimation des mobilités au croisement de la sociologie, de la science politique et de l’histoire. Elle est l’autrice de plusieurs ouvrages et articles dont L’Asile et l’Exil, une histoire de la distinction réfugiés/migrants, La Découverte, 2020.
21h15 Film Le Grand Remplacement : histoire d’une idée mortifère de Thomas Zribi, Nicolas Lebourg, Joseph Haley, Caroline du Saint, France, 2022
L’expression s’est imposée dans le paysage politique ces derniers mois. Éric Zemmour fait de la lutte contre le « grand remplacement » la base de son programme, les candidats du parti Les Républicains débattent du niveau de priorité qu’il représente, les journalistes en font un objet d’interview, les instituts de sondage interrogent leurs panels représentatifs sur le sujet... Mais que veut dire « grand remplacement » ? D’où vient cette idée ? Et surtout quelles sont les implications de son utilisation ?
22h15 Discussion avec les réalisateurs du film Le Grand Remplacement, Thomas Zribi et Caroline du Saint.
10h Mini-conférence juridique Droit et Solidarité : comment distinguer le légal de l’illégal dans nos pratiques d’hospitalité. Par Julia Briland, juriste du droit d’asile.
10h30 Film Premier de corvée de Julia Pascual, Émile Costard, Camille Milerand, France, 2023
Depuis son arrivée en 2018, Makan, qui est sans papiers, cumule deux emplois : plongeur dans une brasserie près des Champs-Élysées et livreur à vélo. Solitaire et sacrifiée, la vie de ce Malien de 35 ans est dédiée au travail, qui lui permet de subvenir aux besoins de sa famille qu’il n’a pas vue depuis quatre ans. Comme des centaines de milliers d’autres personnes, cantonnées aux marges de la société alors qu’elles font tourner des pans entiers de l’économie. Il espère sortir de la clandestinité et, en attendant, « reste dans [son] coin », exerçant avec courage ces métiers que désormais seule une main-d’œuvre précaire accepte. « Si les immigrés ne se présentaient pas, je ne sais pas qui prendrait leur place », reconnaît sa cheffe de cuisine tandis que Makan se demande si la France est bien le « pays des droits ».
11h20 Pause
11h40 Tout un monde
Dans le berceau de l’humanité se murmurent des contes... Ils parlent des tout premiers temps d’un monde qui ne connaît pas les frontières, ils chantent ce pays sans argent où chacun peut trouver sa place, ils disent l’origine de la guerre, ou comment, par le rire, un peuple retrouva un jour le goût de la liberté. Par Virginie Komaniecki, conteuse. Pour tout public de 7 à 77 ans.
12h40 Repas
14h Film The Roller, The Life, The Fight de Elettra Bisogno et Hazem Alqaddi, Belgique, 2024
Hazem arrive en Belgique après un voyage clandestin depuis Gaza. D’Israël, Elettra arrive à Bruxelles pour y étudier le cinéma documentaire. Lorsque Elettra entreprend de filmer Hazem, il se méfie et craint d’être réduit à un stéréotype. Or, il ne veut pas se contenter de survivre, c’est pourquoi il se rêve patineur et pointe les violences des administrations européennes. La caméra sera l’outil de leur rencontre. Devenu coréalisateur, Hazem s’extrait du statut d’objet d’observation, de haine ou de compassion pour rappeler que lui aussi nous regarde. Dans un trajet réciproque de l’un vers l’autre, The Roller, the Life, the Fight se construit, raconte l’écart entre deux parcours de vie absolument dissemblables.
15h30 Pause
16h Lecture d’extraits de Relier les rives, sur les traces des morts en Méditerranée, La Découverte, 2024. Par Jean-Marie Feynerol
Sur le port de Catane (Sicile) des milliers de personnes débarquent, accompagnées des corps de celles qui n’ont pas survécu à la traversée de la Méditerranée. Dans un contexte d’indifférence générale à cette hécatombe et un environnement politique marqué par la criminalisation des migrants, un groupe d’habitants s’est mobilisé pour redonner un nom aux défunts et joindre leurs familles. Cette initiative locale, qu’aucune autorité nationale ou européenne n’avait entreprise jusque-là de façon systématique, est inédite. Au cours des visites répétées au cimetière, des lectures de dossiers administratifs et des enquêtes conduites pour suivre les pistes susceptibles de relier un corps à une histoire, un attachement particulier à ces inconnus naît. Émaillé d’extraits de textes rédigés par des hommes et des femmes soucieux d’empêcher l’oubli, ainsi que des poèmes et des chansons qui donnent sens à leur engagement, ce récit entend restituer la dimension sensible de leurs investigations. Il rend également perceptible la fragilité des liens invisibles et rarement mis en mots qui unissent des vivants à des morts dont ils ne savent (presque) rien.
16h20 Conversation avec Filippo Furri, chercheur en anthropologie, fellow de l’Institut Convergences Migrations et membre du réseau Migreurop, auteur de Relier les rives, sur les traces des morts en Méditerranée, co-écrit avec Carolina Kobelinsky, anthropologue, chargée de recherche au CNRS.
17h20 Écoute radiophonique : Awad et la moissonneuse, Les Pieds sur Terre, France Culture, 28’. Reportage de Fabienne Laumonier, réalisé par Anne-Laure Chanel.
À Bruxelles, Lula héberge Awad, un jeune migrant soudanais. Awad demande l’asile, travaille et envoie de l’argent à sa famille restée au pays. Pour ses proches, il décide d’investir dans une moissonneuse, qu’il réussit à faire transporter jusqu’au Soudan. Lula et Awad racontent.
Faire un pas de côté
Grégoire Eloy, Le Beau Geste
Après avoir photographié les pays d’Europe de l’Est et d’Asie centrale sur les traces de l’héritage soviétique ainsi que les conflits du Sud-Caucase, Grégoire Eloy a collaboré avec la communauté scientifique pour une trilogie sur la science de la matière qui a fait l’objet de trois ouvrages. Il a été lauréat en 2021 du prix Niépce Gens d’image et est membre de l’agence Tendance floue. En 2021, 2022 et 2023, il a accompagné les personnes qui, en un « beau geste » de main tendue, accueillaient les exilés à Briançon et dans la vallée de la Roya.
Nicolas Rivoire, La Clarée
Autodidacte, Nicolas Rivoire a commencé par photographier le milieu musical. Puis, pendant dix mois, fin 2022 et début 2023, aux côtés des solidaires, il a travaillé au projet La Clarée (du nom d’une vallée située entre le col de Montgenèvre et le col de l’Échelle) qui vise à documenter la situation des exilés qui franchissent la frontière franco-italienne. Depuis, ce projet est devenu un livre d’artiste.
Les photographes Grégoire Eloy et Nicolas Rivoire proposent de « faire un pas de côté » sur la question migratoire avec deux approches personnelles et complémentaires du sujet, liées à leur implication auprès des exilés et des bénévoles dans le Briançonnais et la vallée de la Roya.
À l’Usine 25a route de la Faïencerie, Le Poët-Laval
Vendredi 20, samedi 21 et dimanche 22 de 10h à 18h
Du 14 au 29 septembre, de 14h à 18h, sauf les lundis
Visite guidée de l’exposition par Nicolas Rivoire le samedi 21 septembre à 14h
Mondes migrants
Cartes de Philippe Rekacewicz
Il est impossible de parler des circulations migratoires des êtres humains sans évoquer les frontières que dressent d’autres êtres humains, qui s’inscrivent en contraste dans le paysage. Ces cartes sont « en colère » parce qu’elles montrent avec acuité tout ce qui empêche la fluidité des flux, les dispositifs politiques révoltants qui rendent très difficiles et dangereux, voire létaux, les déplacements planétaires des deux tiers de l’humanité.
Au Lavoir, vendredi 20, samedi 21, dimanche 22 de 9h30 à 18h
Sur la route de l’exil, un centre d’hébergement pour réfugiés à Cognin-les-Gorges (1977-1992)
Entre 1977 et 1992, plusieurs milliers de réfugiés cambodgiens, laotiens, vietnamiens – puis afghans, kurdes et zaïrois – ont séjourné au centre d’hébergement de Cognin-les-Gorges situé au pied du Vercors. Pouvoirs publics et monde associatif ont coopéré pour accueillir ces victimes des grands conflits du XXe (merci de mettre le e en exposant, en hauteur quoi, je ne sais pas faire ) siècle. Cette singulière expérience sociale basée sur la rencontre entre personnes exilées et population locale a marqué les esprits. L’exposition associe témoignages, images d’archives et photographies contemporaines. Elle réinscrit cette histoire et ces mémoires dans le contexte géopolitique et socio-économique qui a permis l’expression de cet élan de solidarité. Elle contribue également à la réflexion sur les formes concrètes d’hospitalité à l’œuvre dans la société française d’aujourd’hui. Exposition réalisée par le CPA de Valence et le Grand Séchoir de Vinay en partenariat avec Saint-Marcellin Vercors Isère Communauté et la municipalité de Cognin-Les-Gorges.
À l’église Saint-Pierre, rue des Prisons (à 3 minutes de La Halle), vendredi 20, samedi 21, dimanche 22 de 9h30 à 18h
Cabinet de poésie
Dans un minuscule cabinet de poésie, Nadine Despert lira des poèmes sur l’exil et la migration (de Claire Audhuy, Isabelle Junca, Bernard Mazo, Octavio Paz, Timba Bema) à une ou deux personnes à la fois.
Samedi 21 de 9h45 à 15h et de 19h à 20h30
Dimanche 22 de 9h45 à 14h
La Halle, au pied de l’escalier
Les (grand)-mères servent à quelque chose
Partenariat entre l’association Passerelles et le projet « Mémoires de nos (grand-)mères » porté dans la Drôme par l’association Mimesis - Arts-Actions-Recherche : pendant les trois jours du festival, des glaneuses de paroles seront présentes à la recherche d’histoires locales de migrations. Ces artistes, en rencontrant le public, initieront de brèves et intenses discussions sur ces histoires telles qu’elles ont été portées et transmises par deux générations. Paroles, mots, images extraits de ces mini-discussions seront aussitôt restitués sur un mur d’expression. https://mimesis-asso.fr/
La Halle, salle Jeanne-Barnier
Atelier de fabrication des P.O.F, par Draw-Draw
Quentin Préaud, alias le Professor Draw-Draw, est graveur et typographe. Parallèlement à son travail artistique, il invente régulièrement de nouveaux ateliers pédagogiques utilisant les outils de l’imprimeur. Il dirige aussi les éditions Draw-Draw (Le Quai à Pont-de-Barret).
L’atelier de fabrication des P.O.F.– Papiers Officiellement Faux – est un prétexte à se moquer des frontières et des administrations qui les inventent, mais surtout une invitation à pratiquer la gravure taille-douce à l’aide d’un Lasagnographe®, un laminoir à pâtes. Chaque demandeur de faux papiers officiels est prié de venir s’adresser au BAFO, le Bureau Administratif Faussement Officiel, seule instance apte à délivrer les P.O.F.
Participation au chapeau
Samedi 21 de 14h à 16h15
Dimanche 22 de 13h à 16h
La Halle
LIBRAIRIE VOLANTE
Un partenariat entre Passerelles et la librairie Sauts et Gambades. Plus de 100 titres sur les questions de migrations (essais, romans, poésie, livres Jeunesse, photographie, bandes dessinées).
Un partenariat entre Passerelles et Micro-Folie Dieulefit
Au 2e étage de La Halle
Une Micro-Folie offre un accès ludique aux œuvres des grands musées nationaux grâce à un Musée numérique qui présente plus de 3 200 œuvres issues d’un réseau de 205 établissements culturels. Durant tout le week-end, pour les grands et les petits, Micro-Folie projettera une collection d’œuvres conçue pour le festival (peinture, sculpture, arts décoratifs, photographie, art contemporain) sur la thématique des migrations, enrichie d’une médiation culturelle, de lectures et de films d’animation.
Samedi 21 septembre
10h Lectures de livres Jeunesse par Pauline Rocheman. Dès 6 ans.
10h30 Collection Micro-Folie autour des migrations dans l’histoire de l’art. Dès 10 ans.
11h30 Film d’animation : Va-t’en Alfred de Célia Tisserant et Arnaud Demuynck, 2023, 10’. Alfred a dû fuir son pays à cause de la guerre. Sans logement, il erre, de refus en refus. Un jour il rencontre Sonia, qui lui propose un café. Dès 4 ans.
11h45 Quizz Migrations. Dès 10 ans.
14h Lectures de livres Jeunesse par Pauline Rocheman. Dès 6 ans.
14h30 Collection Micro-Folie autour des migrations dans l’histoire de l’art. Dès 10 ans.
16h Film d’animation : Interdit aux chiens et aux Italiens de Alain Ughetto, 2022, 70’. Début du XXe siècle, dans le Nord de l’Italie, à Ughettera, berceau de la famille Ughetto. La vie dans cette région étant devenue très difficile, les Ughetto rêvent de tout recommencer à l’étranger. Selon la légende, Luigi Ughetto traverse alors les Alpes et entame une nouvelle vie en France, changeant à jamais le destin de sa famille tant aimée. Son petit-fils retrace ici leur histoire. Dès 10 ans.
17h20 Quizz Migrations. Dès 10 ans.
Au 2e étage de La Halle
Dimanche 22 septembre
10h00 Lecture du livre Valises en exil de Catherine Sintès
Demain, tu dois partir, pour ne jamais revenir. Vite, tu n’as pas le temps ni la place pour remplir tes valises. Que vas-tu emporter ? Catherine Sintès a rencontré des personnes exilées venues d’Afrique, d’Europe, du Moyen-Orient ou d’Amérique latine. Avec leur accord, elle a mis en images leurs valises et les ouvrira avec toi. Récit illustré de 25’. Dès 6 ans.
10h30 Film d’animation : Va-t’en Alfred de Célia Tisserant et Arnaud Demuynck, 2023, 10’. Alfred a dû fuir son pays à cause de la guerre. Sans logement, il erre, de refus en refus. Un jour il rencontre Sonia, qui lui propose un café. Dès 4 ans.
11h30 Collection Micro-Folie autour des migrations dans l’histoire de l’art. Dès 10 ans.
11h45 Quizz Migrations. Dès 10 ans.
14h00 Médiation. Par Baptiste Pitois. Dès 10 ans.
14h30 Collection Micro-Folie autour des migrations dans l’histoire de l’art. Dès 10 ans.
16h Film d’animation : Interdit aux chiens et aux Italiens de Alain Ughetto, 2022, 70’. Début du XXe siècle, dans le Nord de l’Italie, à Ughettera, berceau de la famille Ughetto. La vie dans cette région étant devenue très difficile, les Ughetto rêvent de tout recommencer à l’étranger. Selon la légende, Luigi Ughetto traverse alors les Alpes et entame une nouvelle vie en France, changeant à jamais le destin de sa famille tant aimée. Son petit-fils retrace ici leur histoire. Dès 10 ans.
17h20 Quizz Migrations. Dès 10 ans.
Au 2e étage de La Halle
https://passerellesasso.fr/festival-migrations-les-murs-ne-servent-a-rien/
Programme en PDF : https://passerellesasso.fr/wp-content/uploads/2024/07/les-murs-ne-servent-a-rien_programme2.pdf
Renseignements complémentaires : 06 19 91 12 88
participation libre
Lieu : La Halle, Dieulefit
Adresse :
1 rue justin jouve