L’impossible et indésirable civilisation industrielle durable et plus juste

L’arnaque de la finance soi-disant « verte », l’économie circulaire décarbonée, l’alter-capitalisme et autres fadaises

dimanche 27 février 2022, par Les Indiens du Futur.

A présent, il devient difficile de nier la réalité des catastrophes climatiques et écologiques en cours vu que les dégâts se précisent un peu partout.
Alors le challenge pour la civilisation industrielle et ses adeptes est de noyer les causes de ces ravages dans des généralités et d’enliser les actions et les contestations dans les voies sans issue d’un simple réagencement du techno-monde.

Beaucoup de pseudo-écologistes, de « militants climat », de techno-scientifiques et de bonimenteurs médiatiques occupent ce créneau très porteur du mythe de la « gentille » alter-civilisation-techno-industrielle qu’adorent les Etats et les puissants capitalistes.

Croissance verte, alter-capitalisme, économie de marché circulaire décarbonée, emplois verts, green deal, planification écologique, transition écologique ou énergétique, développement durable, écologie industrielle, énergies alternatives industrielles..., tout est bon pour enfumer les gens et continuer la même chose sous un autre nom et avec des variations technologiques (NBIC, numérique partout, éolien et photovoltaïque, smart cities...) utiles à la croissance économique et facilitant l’adaptation du techno-capitalisme aux tensions sur l’approvisionnement en certains produits (dont le pétrole).

L’impossible et indésirable civilisation industrielle durable et plus juste
Se focaliser sur les émissions carbone, et oublier tout le reste ?!

- Voici quelques articles et livres pour démontrer ces mensonges et ces choix destructeurs :

L’impossible et indésirable civilisation industrielle durable et plus juste
Le techno-capitalisme ne pourra jamais être soutenable ni vivable, quelle que soit sa couleur

Résumons. À l’instar de Jason Hickel et de Timothée Parrique, Bon Pote n’a essentiellement aucune critique de l’État, il ne comprend pas en quoi celui-ci pose fondamentalement problème, en quoi État et démocratie (ou « justice sociale ») font deux, en quoi le capitalisme n’est pas simplement la finance, en quoi le capitalisme tout entier — en tant que système d’auto-accroissement de la valeur principalement fondé sur l’argent, la marchandise, le travail, la propriété privée et l’État, toutes choses que ni Hickel ni Bon Pote ne remettent en question — est incompatible avec la démocratie et la prospérité de la vie sur Terre, en quoi une économie décarbonée (un capitalisme décarboné) est un objectif absurde, en quoi la technologie n’est jamais « neutre » mais toujours liée à une configuration sociopolitique (autrement dit en quoi il existe des technologies compatibles avec la démocratie et d’autres non, parmi lesquelles toutes les hautes technologies, toutes les technologies modernes), en quoi aucune industrie n’est réellement verte ou propre et ne saurait le devenir, bref, en quoi une civilisation techno-industrielle basse consommation durable et démocratique, ça n’existe pas.
(...)
Non, une civilisation techno-industrielle basse consommation, durable, équitable et démocratique, selon toute logique, cela n’existe pas. Non, les institutions en train de perpétrer le désastre ne vont pas le résoudre, même si on le leur demande très véhémentement. Ces institutions sont toutes intrinsèquement nuisibles. Non, ce n’est pas en convainquant des gens de ne plus prendre l’avion ou de consommer moins ou d’émettre moins de GES individuellement que l’on va résoudre quoi que ce soit, comme le rappelle le mathématicien Theodore Kaczynski dans son livre Révolution Anti-Tech : Pourquoi et comment ? (cela paraît incroyable qu’un soi-disant spécialiste du changement climatique ne le comprenne pas). Oui, si vous vous souciez de la vie sur Terre et de la liberté humaine, il va vous falloir commencer à réfléchir autrement plus sérieusement.
(...)
les faux amis de l’écologie sont plus préjudiciables à la formation d’un mouvement écologiste digne de ce nom que ses ennemis manifestes
(...)
comme chacun peut le constater, c’est désormais aussi au nom de la transition écologique/énergétique/technologique, de l’investissement dans les industries et technologies dites vertes, propres ou décarbonées que l’on perpétue la dépossession des êtres humains et la destruction du monde.

L’impossible et indésirable civilisation industrielle durable et plus juste
Convergence NBIC, nouvel eldorado capitaliste, nouvelle vague techno-industrielle, pour étendre les ravages

Fermer toutes les mines

En 2019 je me rendais en Andalousie pour visiter quelques sites miniers et énergétiques. En voici quelques photographies.

La mine est celle de Rio Tinto, exploitée par la société du même nom, qui mène de nombreux projets à travers le monde, comme en Serbie, Mongolie. Parcourir ces paysages dévastés, pollués, transformés est une expérience en soi, pourtant on peut y passer sans en connaitre l’histoire. J’ignorais au moment où je foulais ces sols rouges qu’en 1888, l’armée ouvrit le feu sur une manifestation pacifique de 10 000 personnes - qui revendiquait l’arrêt de la calcination du minerai en plein air et pour de meilleures conditions de travail - faisant environ 200 morts [3]. Comme les historiens et historiennes le montrent, les conflits environnementaux ne datent pas des années 1970 comme on l’imagine souvent. Durant tout le XIXe siècle et le XXe siècle on se bat contre les pollutions environnementales, débordements toxiques, nuisances diverses de l’industrialisation et des modernisations successives. Si le massacre andalou est extrême par le nombre de victimes qu’il fait, des cas similaires sont recensés en Amérique latine ou en Afrique de nos jours. Le monde matériel que nous connaissons nécessite ces appropriations violentes pour son fonctionnement et son expansion.

Ce n’est surement pas une transition énergétique basée sur une quantité de matière absolument phénoménale qui changera la donne. Elle alimente d’ailleurs la machine extractiviste en légitimant bon nombre de projets, ou plus insidieusement, en laissant penser qu’une société industrielle pourrait se verdir si d’autres techniques, plus vertes, étaient utilisés, à la place des fossiles. Mais la réalité, incontestable, est bien moins idyllique : tout part de la mine, et ces mines, il faut les fermer. Il ne s’agit même plus de ne plus en ouvrir, il s’agit de toutes les fermer, car les fuites, débordements, accidents sont quotidiens dans cette industrie que les spécialistes qualifient de plus polluante au monde. C’est en effet celle qui produit le plus de déchets solides, liquides et gazeux. D’autres trajectoires techniques sont possibles mais, si elles doivent être écologiques, démocratiques et émancipatrices, elles se situent forcément en dehors de la grande industrie, des technologies modernes, des systèmes techniques gigantesques (réseaux électriques, autoroutiers, maritimes, etc.).

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En Andalousie

[ENQUETE EXCLUSIVE]
Il y a quelques mois, le camarade Jeremy Desir et moi-même avons eu envie d’enquêter un peu sur les nouvelles entreprises d’investissement et autres « néobanques » prétendument écologiques, « vertes », qui se créent ces temps-ci. Il se trouve que l’une d’elles, Goodvest, est à la fois promue par le jésuite Gaël Giraud et par le cabinet Carbone 4 de Jean-Marc Jancovici. Nous avons donc décidé de nous y intéresser. Sans surprise, il s’agit d’un grotesque tissu de mensonges verts. Il s’avère que recourir à « l’investissement responsable » que propose Goodvest — certifié éco-compatible par Carbone 4 et Jancovici, et véritablement vert par Gaël Giraud, donc — c’est financer la BNP, Siemens, Engie, Apple, Coca-Cola, Adidas, Disney et plein d’autres multinationales, c’est financer une multitude d’industries et d’industriels, des projets de développement de centrales de production d’énergie dite verte, propre ou renouvelable ici et là, c’est financer, en somme, tout un tas de choses dont absolument aucune n’est réellement verte, propre ou renouvelable.
Une énième illustration du fait que Gaël Giraud et Jean-Marc Jancovici sont de fieffés bonimenteurs, d’infâmes marchands d’illusions, agents d’un impossible et indésirable capitalisme vert (ou verdissement du capitalisme), d’une impossible et indésirable civilisation éco-industrielle, des hypocrites, des éco-démagogues comme il y en a pléthore aujourd’hui.
Voici donc !
(post de N Casaux)

- Giraud, Jancovici & Goodvest : les mensonges pervers du capitalisme vert (par Jérémy Désir et Nicolas Casaux)

- suite :

CES GENS QUI VIVENT DANS UN AUTRE UNIVERS

Le PDG de Goodvest qui réagit à notre article sur son entreprise, Jancovici et Giraud (ici : https://www.partage-le.com/.../giraud-jancovici-goodvest.../). Dans son monde, un article n’est pas bon s’il ne présente pas thèse, antithèse, synthèse. Si une enquête critique ne révèle pas du bon, des « points positifs », alors elle n’est pas correcte. Il y a déséquilibre. En plus, on critique le nucléaire et le renouvelable. Ce qui ne se fait pas. Ces choses-là sont propres, vertes, soutenables. C’est tellement évident qu’il ne revient pas dessus dans la pathétique réponse qu’il nous a adressée (ici : ), mais se contente de rassurer ses clients : son entreprise est certifiée par Carbone 4 (le cabinet de Jancovici) ce qui ne peut que signifier que c’est très sérieux, qu’y investir contribue vraiment vraiment à sauver le monde, favoriser l’éco-responsabilité, le développement durable, la décarbonation, etc. (sa réponse en bref : nous sommes certifiés par des professionnels de la certification qui certifient selon des méthodes certifiables que nous sommes certifiés, c’est pourquoi vous n’avez aucun souci a vous faire).
Bien évidemment, notre texte a provoqué des tas de réactions de rejet viscéral chez les jancoviciens et plus généralement chez les braves gens de la gauche progressiste qui aiment le progrès technique, la civilisation, l’industrie, dont le principal rêve est une civilisation techno-industrielle bio et équitable. Et notamment les inévitables « mais c’est déjà mieux que rien », « mais la critique est facile », « mais vous vous faites quoi », « mais vous vous proposez quoi ». Diverses manières de se voiler la face, de refuser d’appeler un chat un chat, un mensonge un mensonge, une escroquerie une escroquerie. Diverses manières de refuser de comprendre ce qu’impliquerait une véritable défense de la nature et l’égalité sociale. Diverses défenses du « pragmatisme » au nom duquel on détruit inexorablement le monde en asservissant les humains depuis des décennies. Encore quelques décennies de « pragmatisme » et il ne restera plus grand-chose à sauver. Victoire ultime du pragmatisme. Misère, misère.

(post de N Casaux)

L’impossible et indésirable civilisation industrielle durable et plus juste

CAMILLE ÉTIENNE, L’IDDRI, EDF ET USBEK & RICA

Quand on pense qu’ils ne sauraient tomber plus bas, les écologistes modernes (les technologistes) s’empressent de nous donner tort : Camille Étienne, « militante écologiste », « porte-voix des jeunes générations engagées pour l’environnement », « égérie du combat climatique », siège désormais au conseil stratégique de l’IDDRI, l’Institut du développement durable et des relations internationales, un « think tank qui facilite la transition vers le développement durable », financé par le groupe Renault, l’AFD ou Agence française de développement (dont Gaël Giraud était économiste en chef jusqu’à il y a peu), Engie, EDF, Suez, Vinci, Veolia, la BNP Paribas, la Banque mondiale, la fondation Bill & Melinda Gates, etc.

Cette formidable nouvelle, nous l’apprenons dans le premier épisode du podcast intitulé « Engagés » [sic] co-réalisé par la « direction du développement durable d’EDF » en partenariat avec le génial
magazine technocapitaliste Usbek & Rika, dans l’objectif de nous faire « comprendre comment tout un chacun – salariés, direction, partenaires – peut mettre la main à la pâte pour orienter l’impact sur la société des entreprises, ces actrices clés de la transition écologique », de nous inciter à nous « engager » et à « faire de la RSE, de la responsabilité sociétale des entreprises ».

Attention. J’en vois déjà venir certains. Mais, non ! Le monde de l’entreprise (le capitalisme), ces entreprises, ces organisations, ne sont certainement pas en train d’acheter Camille Étienne en vue de faire bonne figure ! Non, ce qui se passe, ainsi que nous l’explique Camille Étienne elle-même, c’est tout le contraire. C’est elle qui, en véritable agente double, agente secrète, « infiltre » l’IDDRI afin de mieux changer les choses de l’intérieur, afin de « représenter la voix de la jeunesse », d’apporter « une forme de radicalité dans leur vision, qui va parfois contrebalancer celle des plus grandes entreprises ». C’est « important [pour elle] de pouvoir travailler main dans la main avec des think tank ambitieux comme celui-ci ».

Sans contradiction aucune, dans le numéro de Socialter dont elle a été rédactrice en chef invitée (mais surtout argument de vente), paru en décembre 2021 et intitulé « L’écologie ou la mort », on lisait que le concept de « développement durable » est un « exemple canonique de la novlangue technocratique », une expression « abondamment reprise dans les documents officiels des organisations internationales et des États », notamment caractérisée par un « flou conceptuel » qui permet « de naturaliser dans l’opinion publique l’idée que l’environnement pourrait être protégé tout en développant l’économie ». Ce qui est très vrai. Le développement durable est effectivement un concept totalement creux visant à faire croire qu’un technocapitalisme vert, une civilisation industrielle écolo est possible, un label qu’on utilise pour continuer à faire tourner la machine-économie sous couvert de respect de l’environnement. Une arnaque grotesque.

Voilà donc toute la nullité, toute la bêtise des écologistes modernes (des technologistes), qui ne comprennent essentiellement rien à ce qui pose réellement problème (ou comprennent un petit peu mais préfèrent refouler cette dérangeante réalisation au profit d’un peu d’argent et de notoriété). C’est gagnant-gagnant, comme on dit dans le milieu. Les écologistes (technologistes) touchent un peu d’argent pour pouvoir continuer leurs gesticulations théâtrales, ont l’impression d’agir héroïquement et pragmatiquement, et les entreprises se font une image plus verte.

Dans le processus, le vocabulaire continue tranquillement d’être coopté, les mots de perdre leur sens. Les entreprises « s’engagent », intègrent « la radicalité ». Camille Étienne est présentée comme une « écologiste radicale ». Elle est membre d’un collectif appelé « Pensée sauvage ». Sébastien Treyer, le président de l’IDDRI, est aux anges. Il l’exprime dans une longue tirade en langue de plastique (élastique, flexible, chimique, industrielle, cancérogène) : « ce que je trouve très intéressant dans la position de Camille Étienne, c’est qu’en tant qu’activiste elle se positionne vraiment comme un acteur politique, un acteur stratégique, en tout cas avec une compréhension politique et stratégique de la nécessité de penser les alliances avec et les alliances contre, et vraiment un vocabulaire pour expliquer comment en tant qu’activiste elle doit avancer dans la lutte qu’elle a fait sienne. Elle utilise le mot aussi de complémentarité des luttes, et je trouve ça très intéressant parce que c’est à la fois explicitement nommer cette idée qu’il faut prendre un point de vue critique, expliciter quelle est la lutte pour laquelle on se positionne, et qu’on est dans une logique très stratégique à ce sujet, et en même temps construire des collaborations de coordination, de coopération avec des acteurs même quand ils sont, potentiellement, on pourrait dire, du camp d’en face, parce qu’en fait les camps sont plus complexes que juste le camp d’en face ».

Il n’y a pas d’ennemis. Que des amis potentiels, qui veulent tous la même chose au final, le Bien. Tous ensemble, main dans la main, nous devrions travailler à co-construire le Bien avec eux (c’est-à-dire un capitalisme durable).

Tu continues de te vendre, Camille Étienne. Tu continues de traîner dans la boue, de salir, de trahir la lutte au nom de laquelle beaucoup de femmes et d’hommes respectables ont dignement œuvré (et pas en vue de rendre durable le capitalisme, en vue de le faire disparaître). Je continuerai donc de faire mon possible pour le faire savoir.

- et aussi : Camille Étienne & les égéries nulles du « mouvement climat » - Pour notre plus agréable divertissement, les médias de masse fabriquent régulièrement de nouvelles égéries censées représenter le mouvement écologiste moderne, c’est-à-dire le « mouvement climat » (ou « pour le climat »), c’est-à-dire le « mouvement pour que la civilisation industrielle soit rendue soutenable » ou, encore autrement dit, le « mouvement pour un capitalisme vert et durable ».

(post de N Casaux)

L’impossible et indésirable civilisation industrielle durable et plus juste
Un « militantisme » sponsorisé par de grosses multinationales...

P.-S.

Des solutions ?

- Révolution Anti-Tech : stopper les machines, sauver la biosphère
Lors de mes échanges au sujet de la catastrophe environnementale en cours, on me demande régulièrement quelles « solutions » je propose. Dans cet usage précis du terme « solution », il ne signifie pas un « ensemble de décisions et d’actes qui peuvent résoudre une difficulté » (Le Robert), mais plutôt un « ensemble de décisions et d’actes soigneusement planifiés par les scientifiques, les techniciens et les gouvernements, capables de résoudre la crise socio-écologique sans prise de risque et de conserver tout le confort matériel moderne – Wi-Fi, Internet, smartphone, ordinateur, voiture, réfrigérateur, micro-onde, machine à laver, four, plaques de cuisson, bouilloire, chauffage, climatisation, eau courante, eau chaude, électricité, hôpital, transports à grande vitesse, supermarchés, cinéma, etc. »

On ne solutionne rien en conservant l’essentiel des éléments constituant un problème. Il faut 3 000 tonnes de sable pour construire un bâtiment des dimensions d’un hôpital, 200 tonnes pour une maison individuelle et 30 000 tonnes pour un kilomètre d’autoroute[1]. En 2017, environ 44 milliards de tonnes de sable, gravier et argile ont été arrachées à la croûte terrestre, soit l’équivalent de plus de quatre millions de tours Eiffel[2]. Remplacer ce sable par un autre matériau ne fait que déplacer le problème et in fine, en crée d’autres. Conserver l’addiction au confort moderne reposant sur un extractivisme insensé et se soumettre aveuglément à l’autorité d’une bande d’incapables, ce n’est pas une solution ; c’est du suicide. La solution, c’est la Révolution. Non pas pour instaurer un énième projet politique utopique qui échouera aussi lamentablement que les précédents. Mais pour abolir l’esclavage technologique, mettre un terme au règne mortifère de la machine et rendre à l’humanité sa dignité.


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