Articles, posts, images, vidéos, témoignages... autour du soulèvement en gilets jaunes qui dure depuis le 17 novembre 2018.
Manifestations, résistances et actions
- Lundi 10 juin à Saillans : procès de Macron, jeux et assemblée populaire
- Post FB : ☢️JE SUIS CHOQUÉE !!!!☢️
C’est quand même hallucinant qu’en 2019 le simple fait de marquer (HORS SERVICE) sur une feuille A4 et de la scotcher sur l’écran d’un parcmètre ou d’une pompe à essence en libre service, fait qu’ils soient inutilisables...
Alors, je vous vois venir les gilets, il ne faut surtout pas le faire, car cela pourrait engendrer des pertes financières à ses sociétés ! Merci d’avance !! Bisous bisous !!
Vous pouvez éventuellement terminer par un Beau :
« Nous nous excusons de la gêne occasionnée par cette indisponibilité temporaire » - Le 17 Novembre 2018 = Saison n°1 avec 30 Épisodes
Le 22 Juin 2019 = Saison n°2 🎬 La série ne fait que commencer ✊ - Jarnac : la permanence de la députée Sandra Marsaud a été vandalisée
- Revendications des Gilets Jaunes de Damigny
- « Vivent les dockers ! » - Quand les dockers refusent de charger des armes
- Brochure sur les armements du maintien de l’ordre - Mieux les connaître, pour mieux s’en prémunir ! - par le collectif « Désarmons-les ! »
- LES TRAVAILLEURS DE L’OMBRE RENTRENT DANS LA LUTTE - « On fait tout, on vide les poubelles, il y a des excréments, du vomi, du sang [...] Nos revendications c’est les salaires, les conditions de travail, que la pénibilité soit reconnue aussi »
- Paris 8 juin • Marche pour la fermeture des abattoirs
# Réunion : ACTE NATIONAL -Marche Adama III - alliance des luttes - Avec tous les collectifs de « Ripostons à l’autoritarisme », nous vous invitons à participer à une réunion de préparation de la 3e marche pour exiger Vérité et Justice pour Adama.
« ACTE NATIONAL 20 juillet -Marche Adama III - alliance des luttes contre l’autoritarisme »
C’est un appel aux Gilets Jaunes, militants du mouvement social, enseignants, écologistes, enseignants, parents d’élèves, migrants, antifascistes, familles de victimes des crimes policiers, antiracistes, etc.
Le 1er décembre 2018 le Comité Adama était l’un des premiers à appeler à prendre la rue avec les quartiers populaires et les gilets jaunes !
7 mois plus tard, nous appelons à ce que les gilets jaunes, acteurs du mouvement social prennent massivement la rue à l’occasion de la marche du 20 juillet pour en faire un acte national massif !
RDV à la Bourse du Travail de Paris mercredi 12 juin à 19h00 salle Louise Michel.
Faisons de cette date un acte incontournable pour affirmer notre solidarité à toutes celles et ceux qui subissent les violences policières, et construire une riposte massive à l’autoritarisme qui se généralise à toute la société ! Samedi 11 mai, une première rencontre « Ripostons à l’autoritarisme » a eu lieu à la Bourse du travail, continuons de construire l’alliance des luttes !
Ne ratons pas cette occasion historique.
Analyses, idées
- « POUR UNE INTERNATIONALE ANTIAUTORITAIRE OUVERTE À NOTRE DIVERSITÉ » - Entretien avec Spyros Dapergolas de Rouvikonas (...) Cette nouvelle internationale antiautoritaire – qui semble dans l’air du temps puisqu’on en parle un peu partout – aurait quels contours ? Jusqu’où proposerait-elle de se rassembler ? Il y a tant de luttes différentes et tant de façon de les mener localement que cette question se pose de plus en plus. Quels pourraient-être nos critères de convergences dans ce nouvel élan historique, suite à l’échec total des révolutions étatiques au vingtième siècle ?
- Ajouter au malheur de ce monde - « Décrire permet de déchirer la surface étouffante des opinions personnelles » (...) Attendre les signes d’une dictature à l’ancienne, conforme, c’est manquer le réel, qui est cent fois plus mobile et trouvera toujours le moyen de passer quelque part (...) Mais si les coups de matraque en plein visage sont insupportables, il y a pire ; ces gendarmes et policiers à qui on a retiré la muselière ne rentreront pas en eux . Dès lors qu’on laisse quelqu’un exprimer les pulsions les plus dégueulasses, dès lors qu’on l’exonère d’être sensible à la douleur d’un autre, il n’y a pas de retour possible. Ces fonctionnaires resteront dans cette humeur fascistoïde, et c’est maintenant à toute la société de soigner cette tumeur. Pour l’hybris d’un Macron, sourd à la souffrance de beaucoup, à qui cette violence de la police est nécessaire, désormais, pour se maintenir, pour l’hybris d’un Macron attentif seulement à se maintenir, quel que soit le prix de cet entêtement, c’est à toute la société de payer. (...) La destruction de ces liens n’est pas neuve, elle a même commencé à porter ses fruits – le grand corps social n’est peut-être plus qu’un ensemble d’archipels. La proclamation de l’Etat d’urgence, en 2005, pour mater les banlieues, n’a pas mobilisé le cœur des villes, ce que les banlieues ont rappelé aux nuitdeboutistes qui appelaient en 2016 à la convergence ; ce qu’elles reprochent à nouveau, aujourd’hui, aux Gilets jaunes qui découvrent la férocité de la BAC. Autre exemple : la loi Travail aurait dû mobiliser contre elle bien plus de monde. La demande de justice fiscale formulée par les gilets jaunes devrait, elle aussi, rassembler de manière très large. Et les violences policières devraient pousser hors de chez eux des électeurs d’abord peu sensibles à la question de cette justice fiscale. Les parents d’élèves devraient être très nombreux à rejoindre les enseignants qui s’alarment. La mobilisation citoyenne devrait être plus impressionnante. (...) Cette dureté fait le lit de nouvelles formes de fascisme en ce qu’elle rend indifférent aux violences policières, par exemple ; la gestion des relations par la force ne fait plus scandale. On se suicide sur son lieu de travail parce qu’on n’a plus les moyens de se révolter – ni les mots pour dire comment et à quel point cette dureté est scandaleuse, ni les collègues pour comprendre que dans la tentation du suicide individuel c’est un destin collectif qui se manifeste. Le gouvernement Macron a fait supprimer des aides destinées aux handicapés, et personne n’a quitté son logement pour aller manifester. Trois mois plus tard une femme en fauteuil roulant reçoit du gaz lacrymogène en plein visage, la police parle de légitime défense, cette femme disposant d’une arme (son fauteuil roulant). Que cela nous fasse rire (jaune) est compréhensible, que cela ne nous fasse pas descendre dans la rue l’est beaucoup moins.
- Le plan comptable des démocraties - « C’est sûr que balancer des graphs avec 11% pour le vainqueur ça fait pas sérieux. »
- « Si la gauche ne perçoit pas la gravité du moment que vit le Brésil, elle sera écrasée par l’histoire »
- La ménagère et la putain ? Une invention du capitalisme ! - Dans « le Capitalisme patriarcal », Silvia Federici relit Marx dans une perspective féministe. Parmi les « oublis » du philosophe, le travail reproductif fourni par les femmes, rien de moins que le pilier du capitalisme.
- Le RIC, ou le nouvel opium du peuple. Quelques réflexions autour d’un aménagement du pouvoir... accompagnées d’une réflexion sur les moyens de s’en sortir - par des Gilets Jaunes de Damigny
- Des médics, des gaz et autres… - « Dans nos équipes, le tee-shirt restera noir, les visages masqués et le signe distinctif un brassard discret de croix rouge ou verte (le bleu et le blanc ne sont définitivement pas pour nous). »
# MACRON FOSSOYEUR DE LA RÉSISTANCE - Quand le président des riches récupère la mémoire d’un jeune Résistant -
Il s’appelait Henri Fertet, il est mort à 16 ans. Lycéen, il avait rejoint la Résistance dans les rangs des Francs Tireurs Partisans. Il faisait partie du « groupe Guy Môquet » qui portait le nom d’un autre jeune antifasciste assassiné par les nazis en 1941. Pour des faits de résistance – sabotages, tirs sur un commissaire allemand –, Henri Fertet avait été arrêté, enfermé, torturé. Et exécuté en septembre 1943.
Henri Fertet et Guy Môquet sont morts à 16 ans parce qu’ils se sont battus contre l’injustice, la barbarie, l’arbitraire : le fascisme. Par leurs actions, ils ont contribué à mettre à terre l’occupant nazi.
Le 5 juin, il y a deux jours, c’est la lettre du jeune Henri Fertet qui a été reprise – et tronquée – par Macron lors des commémorations du Débarquement. Comme Sarkozy, qui avait utilisé en 2007 la mort du jeune communiste Guy Môquet, Macron s’empare de la mémoire de la Résistance. Une réappropriation cynique. (...)
# Petite histoire : Drôle de Grenouille Révolutionnaire : DGR expliqué aux enfants.
Peut-être connaissez-vous cette expérience.
Plongez une grenouille dans de l’eau bouillante, elle en sortira aussitôt. Plongez-là dans de l’eau froide et faites chauffez l’eau tout doucement, elle se laissera mourir ébouillantée sans lever le petit doigt.
Maintenant, imaginons 100 grenouilles dans une marmite d’eau en train de chauffer sur une cuisinière.
Certaines d’entre elles commencent à s’inquiéter. Deux grenouilles prennent même l’initiative de sauter en dehors de la marmite, mais nous reviendrons sur leur histoire un peu plus tard.
Parmi les grenouilles de la marmite, se trouvent des grôcrapauds. Les grôcrapauds peuvent croasser très fort et font des promesses. Ils promettent de faire des choses pour rassurer les grenouilles, mais seulement si elles votent pour eux.
Il y a le grôcrapaud-robot qui promet que des implants bioniques permettront aux grenouilles les plus riches de survivre dans de l’eau bouillante ; le grôcrapaud-brun, le plus laid de tous, qui promet de construire une échelle faite avec les cadavres des grenouilles de couleurs différentes de la sienne afin de sortir de la marmite ; le grôcrapaud-vert qui dit que si l’eau est chaude, c’est la faute des grenouilles elles-même et qu’elles doivent arrêter de bouger ; le grôcrapaud-rouge qui devient sénile et qui a tellement menti dans sa vie que plus personne ne daigne l’écouter.
De plus, lorsqu’un grôcrapaud réussi à être élu, il peut ordonner à des méchants tritons de taper sur les grenouilles mécontentes.
Tout ce petit monde s’agite de plus en plus alors que la température se rapproche dangereusement du point d’ébullition.
Revenons à nos deux grenouilles dissidentes.
De l’extérieur, elles se rendent bien comptent de la scène dramatique qui se joue sous leurs yeux. Elles pourraient décider de fuir et de continuer leurs vies ailleurs, mais deux petits êtres fragiles comme elles ne feraient pas long feu toutes seules dehors. Elles ont besoin de leurs congénères prises au piège pour survivre.
Malheureusement, elles ne parviennent pas à se mettre d’accord sur la stratégie la plus efficace pour sauver leurs amies.
La grenouille non-violente, n’en faisant qu’à sa tête, grimpe sur le rebord de la marmite et s’époumone à essayer de convaincre une par une les grenouilles prisonnières de sauter hors de la marmite. En vain, les grôcrapauds couvrant le son de sa voix avec leurs gros croassements, personne ne l’écoute. Elle devient en plus la cible des méchants tritons qui la frappent pour la faire taire.
La grenouille révolutionnaire, elle, décide de s’attaquer à la source du problème et tente de saboter cette satanée cuisinière qui est en train de faire bouillir ses pauvres camarades. La pauvre se sent bien seule et elle aurait bien besoin d’aide.
Elle est le dernier espoir pour les 98 petites grenouilles restantes et le temps manque, il faut faire vite !
Voir Deep Green Resistance pour approfondir et passer à l’action
Ecocide, destructions écologiques et climatiques catastrophiques provoquées par le capitalisme, le productivisme et les civilisations industrielles
- Contre le PLUi et ses écoquartiers de béton - Appel des Lentillères - L’enquête publique du PLUI [2] est en cours, et les urbanistes s’entêtent à penser que les dernières zones maraîchères de la ville peuvent être classées comme Zone à Urbaniser. Le Quartier Libre des Lentillères appelle à un rassemblement le 12 juin devant Dijon Métropole, avec le premier marché pirate de la saison.
- Construire un centre commercial en zone inondable : c’est possible en France en 2019
- Album photo : Au final la civilisation, le « progrès / développement » nous ont donné :
des pollutions dans l’eau, la nourriture, l’air, les sols...
des ravages quotidiens sur les différents écosystèmes et espèces vivantes (destructions, exterminations, domestications, exploitations).
de la surpopulation entrainant famines, maladies, pandémies, épidémies...
des systèmes politiques et économiques autoritaires, hiérarchiques, spoliateurs, inégalitaires et génocidaires.
Et on nous dit que tout ça serait réglé un jour par d’avantage de technologies ? Encore plus de science sans conscience ?
NON, voyons la vérité en face : aucune énergie « verte » ou « renouvelable » n’arrêtera la catastrophe en cours, de même qu’aucun boycott ou consommation « éthique » ou « responsable » nous sauvera de l’effondrement qui vient. Si nous ne prenons pas rapidement des mesures beaucoup plus radicales, si nous ne mettons pas fin au Capitalisme, au commerce mondialisé et aux industries, alors la vie sur Terre disparaitra pour longtemps, et cela se fera après de longues guerres pour les dernières ressources, une horreur inimaginable est à venir pour les enfants de ce siècle. REVEILLONS-NOUS AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD, IL FAUT SE BATTRE POUR CE MONDE ! - L’écologie™ du spectacle et ses illusions vertes (espoir, « progrès » & énergies « renouvelables ») - « La destructivité de la civilisation industrielle ne relève pas que de la manière dont elle produit l’énergie qu’elle consomme. La civilisation industrielle détruit la planète au travers des activités, des processus et des pratiques qui sont rendus possibles grâce à la production industrielle d’énergie (supposément verte, renouvelable, ou pas). Bien avant le début de l’utilisation des combustibles fossiles, la civilisation, le type de société humaine basé sur la croissance de villes, avait déjà appauvri la biodiversité mondiale, altéré le climat, et massivement déboisé et ravagé la planète. La production industrielle d’électricité (soi-disant verte, renouvelable, ou pas) permet seulement une accélération exponentielle de ces destructions. Et plus on augmente la quantité d’énergie disponible, plus les destructions se multiplient. »
- Pollution au plastique : « La Méditerranée est une décharge à ciel ouvert », déplore le WWF
- La France est le plus gros pollueur par les déchets plastiques de la Méditerranée
- Fret, pollution, embouteillages... les dégâts du transport routier diésel en Europe - En Europe, 80% des marchandises sont transportées par voie routière. Mais à quel prix ? Enquête sur la folie des poids lourds.
- Sécheresses, barrages, irrigation : « les guerres de l’eau » vont-elles se multiplier en France ? - Malgré les interdictions, le barrage de Caussade dans le Lot-et-Garonne a tout de même été creusé sous la pression de la chambre d’agriculture. Ce conflit, après celui du barrage de Sivens, illustre la multiplication des tensions, partout en France, autour de l’irrigation intensive. Face à des sècheresses de plus en plus longues, fréquentes et intenses, et alors que la majorité des zones humides ont disparu, le juste partage de l’eau devient une question fondamentale. Comment éviter que des conflits pour l’eau éclatent partout ? La concertation locale menée sur le bassin versant de la Garonne est-elle une voie à suivre ? Enquête.
- Après le glyphosate, les pesticides SDHI, nouveau danger sanitaire ? - Fraises, salades, pommes, vignes, champs de blé dur ou d’orge d’hiver… l’agriculture est friande des molécules SDHI, qui visent à détruire champignons et moisissures. Un collectif de scientifiques s’inquiète des risques de ces fongicides sur la santé des organismes vivants, dont les humains. L’agence sanitaire française ne partage pas leur avis.
- Les ONG bataillent pour verdir la loi Mobilités - Voitures thermiques, transport routier de marchandises, infrastructures polluantes, pollution de l’air, place du vélo… le projet de loi Mobilités, actuellement en discussion à l’Assemblée nationale, reste pusillanime aux yeux des associations membres du réseau Action Climat. Elles comptent sur les amendements pour rendre la loi plus audacieuse.
- Forêts publiques : l’État réfléchit au démantèlement de l’ONF - En plus des suppressions de postes, l’État réfléchit à confier la gestion des forêts communales à des prestataires privés et à supprimer la consultation de l’ONF en cas de défrichement... Or, selon les travailleurs forestiers, une gestion durable de la forêt dépend du maintien d’un service public forestier fort.
Répression policière et terrorisme d’Etat
- Les actions de solidarité prises pour cible par la police - Dans le nord de la France, les autorités françaises harcèlent, tentent d’intimider et agressent violemment les personnes qui offrent une aide humanitaire et un soutien sous d’autres formes aux migrants, aux demandeurs d’asile et aux réfugiés pour entraver délibérément les actions de solidarité. Enquête.
- A Lisieux, la justice annule des poursuites contre des « gilets jaunes » interpellés préventivement - Trois hommes avaient été arrêtés, avant le début de la manifestation parisienne, à plus de 200 km de celle-ci. Les juges ont estimé que les réquisitions du procureur n’étaient pas motivées.
- « Sur les portes de nos cellules étaient indiqués nos noms et la mention “Gilets jaunes” »
# G7 A BIARRITZ : ÉTAT POLICIER - Un centre de rétention transformé en prison pour les manifestants et un tribunal prêt à tourner à plein régime - C’est un moment clé juste avant la rentrée : le G7 aura lieu du 24 au 27 aout prochain en France. Un sommet international, qui réunira les puissants de ce monde, est organisé à Biarritz à la fin de l’été. Une rencontre internationale de malfaiteurs gouvernementaux, alors que la situation politique et sociale est déjà explosive depuis des mois dans le pays.
Face à la colère légitime qui s’exprime face à cette nouvelle provocation, le gouvernement annonce déjà la mise en place d’un État policier, et d’une répression inouïe. Dans la continuité de la fuite en avant autoritaire du gouvernement Macron.
- 32 000 EUROS D’AMENDE POUR CETTE AFFICHE !
# « BON ANNIVERSAIRE MAMAN » : COURT-METRAGE NANTAIS SUR LES VIOLENCES D’ETAT - Une jeune dessinatrice se retrouve malgré elle dans une manifestation de Gilets Jaunes, dans les rues de Nantes, avec une amie ...
Un court-métrage 100% nantais : casting, images, lacrymo et défilés. Ce petit film permet de se replonger au coeur des cortèges et de l’ambiance des manifestations de ces dernières semaines, avec un propos plus que pertinent.
A voir et à partager !
# 32 000 EUROS D’AMENDE POUR CETTE AFFICHE !
Un publicitaire du Var, dans le sud de la France, a affiché cette fausse pub pour se moquer du traitement médiatique à propos des Gilets Jaunes. Il vient d’être condamné à verser 32 000 euros à BFM TV !
« Je voulais simplement parodier la phrase de mai 68, "la police vous parle tous les soirs à 20 h " », explique l’auteur de ce visuel, Michel-Ange Flori
L’affichiste a multiplié les détournements de pubs ces derniers pour se moquer du pouvoir en place. Il est aussi poursuivi pour avoir dénoncé la violence du commissaire Andrieux, coupable d’avoir tabassé des manifestants en janvier dernier.
Oui, aujourd’hui la justice harcèle un homme pour quelques affiches ironiques, pendant que les affaires de mutilations gravissimes dorment dans les tiroirs des juges.
La liberté d’expression la plus basique fond comme neige au soleil en France ! Où sont passé les millions de "Charlies" ?
Magouilles, violences et mensonges du régime et de son monde
- « Ils ont exigé des fauteuils » - Serge Quadruppani raconte le 14e jour du procès des suicides de France Télécom
- Oui à l’écologie, non à l’écologisme - L’écologie est indispensable. Pour être efficace, elle exige la croissance. L’écologisme, sectaire et fanatique, professe l’inverse. Bruno Durieux oppose les deux dans un essai polémique et salutaire. (malgré les apparences, c’est article n’est pas un "fake", c’est au premier degré)
- Témoignages : le travail forcé, l’autre facette de l’enfer que vivent les migrants détenus en Libye
- MIGRANTS : L’UNION EUROPÉENNE ACCUSÉE DE CRIME CONTRE L’HUMANITÉ - "Il y a plus de 14 000 personnes qui sont mortes pendant la période que l’on a examiné [...] C’est le fruit d’une politique menée de façon très cynique et assumée par nos dirigeants"
- Paris va privatiser ses crématoriums, « une marchandisation de la mort » dénoncent des élus - La Mairie a préféré l’offre du groupe privé Funecap à celle de sa propre filiale de services funéraires. Ce choix fait grincer des dents à gauche.
- Violences des surveillants de prison : brisons le silence - Derrière les portes closes des prisons, des personnes détenues sont régulièrement victimes de violences physiques de la part d’agents pénitentiaires. Après une enquête d’une ampleur inédite, l’OIP publie aujourd’hui un rapport qui dresse un état des lieux de ces violences, décrypte les rouages qui leur permettent de se perpétuer et propose des recommandations pour mettre fin au déni et à l’impunité.
- Un an après leur défaite, les salariés de la SNCF meurent (...) Pour la psychologue du travail Pascale Molinier, “l’organisation du travail n’a pas tué le ou la salariée, mais les conditions sociales qui lui permettaient de construire sa santé mentale lui ont été rétirées” . C’est donc bien le travail qui tue, pas “la maison”.
Honte à ces patrons cruels, mais honte aussi à toutes celles et ceux qui, l’année dernière, ont couvert de leur mépris le mouvement de résistance des travailleurs de la SNCF qui payent aujourd’hui cher leur défaite. - Les panneaux publicitaires numériques envahissent l’espace public... et nos esprits (...) « on sait, parce qu’on fait du plaidoyer avec lui, que le gouvernement préfère plutôt remettre en question son engagement de fermer les centrales à charbon françaises d’ici à 2020 que d’éteindre les publicités ».
- Le gouvernement veut sucrer les allocations d’au moins 11% des chômeurs indemnisés
- La Poste balance des sans-papiers aux flics... Ripostons ! - Depuis des années La Poste collabore avec l’État en dénonçant les personnes qui n’ont pas les bons papiers aux flics. Dernièrement, c’est dans une agence de Champigny-sur-Marne qu’une personne s’est faite balancer. Samedi, nous y sommes allé.e.s pour afficher La Poste, mais aussi toutes les entreprises qui font tourner la machine à expulser !