Casser l’idée préconçue que tout va de plus en plus mal...

Note de l’auteur : De plus en plus de cadres chinois refusent des mutations vers les mégalopoles chinoises archi-polluées. Les multinationales occidentales rencontrent les mêmes problèmes. De fait, il faut être fou pour scolariser ses enfants au lycée français de Pékin (Victor Segalen). Dix, quinze ans après, ils développent une maladie vicieuse. L’attractivité du social capitalisme chinois en pâtit.

En Inde, Mumbai (Bombay), Delhi, Chenai (Madras) connaissent des niveaux de pollution énormes.
Dans les rues, sous des tentes, y vivent des familles Dalits (Intouchables) exposées jour et nuit aux fumées du trafic. Hors du monde, les regarde t-on même ?
Les statistiques ne disent que ce qu’on leur demande de dire, dans les limites des questions que savent poser nos faibles intelligences. Pour durer, il faut être modeste, sobre.
Ne pas casser la mécanique générale : oui.
Sans casser la planète par myopie.
L’ignorance de notre bêtise et notre paresse à apprendre sont nos pire ennemie.