Jeudi 9 janvier 18:00-20:30
Le racisme aurait-il deux têtes ? Celle de la violence explicite, brutale, cyclique des morts et des agressions qui s’accumulent de la Méditerranée aux quartiers populaires. Puis celle d’une violence banale, plus taiseuse, qui se niche dans les relations quotidiennes et entrave la construction de son identité.
Douce Dibondo fait le constat d’un silence autour d’une blessure cachée dont la plaie brûle vive la peau des personnes noires et racisées : la charge raciale.
Atelier à 10€ (tarif de base) / 6€ (tarif solidaire)
Jeudi 9 janvier : – 18h-20h30 à Valence (lieu à venir).
Lieu : Valence