Cette année, la fête de la nature change complètement et se met au goût du jour. Finies les balades sentimentales, les observations impuissantes d’écosystèmes et d’espèces qui disparaissent sous les coups de la civilisation techno-industrielle, terminées les micro-actions pédagogiques lénifiantes et les petits éco-gestes qui donnent bonne conscience à bon compte, fin des « atlas de biodiversité » détruite toute l’année avec le soutien des institutions.
Cette année, on voit les choses en (...)