L’islamophobie tue, encore et toujours. L’islamophobie ne date pas d’hier. Ce racisme s’inscrit dans le système colonial pour déshumaniser les (...)
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L’islamophobie tue, encore et toujours. L’islamophobie ne date pas d’hier. Ce racisme s’inscrit dans le système colonial pour déshumaniser les (...)
Agissons pour que la Nakba, à savoir l’expulsion de 800.000 Palestien(ne)s de leurs terres en 1948 lors de la création de l’Etat d’Israel, ne se (...)
Ete 2024. Dans la panique post dissolution, toute la gauche (et même certain.es anarchistes) a fait la campagne du NFP. Toute ? Non ! Cette série de podcasts raconte des mobilisations antifascistes populaires et autonomes en ville et en campagne qui ont exploré d’autres voies.
Épisode 3. Collectifs antifascistes et comités de quartier à Marseille
Le wauquisme est un tout nouveau mouvement politique initié par un certain Laurent Wauquiez, mais il compte déjà de très nombreux membres, (...)
En 2023, nous réunissions les écrivains Kaoutar Harchi et Joseph Andras pour un échange croisé. De cette rencontre est né un ouvrage prolongeant la réflexion amorcée : Littérature et révolution, publié aux éditions Divergences. Récemment traduit, il vient de paraître en Grèce. À cette occasion, les auteurs ont répondu aux questions de Kostas Stoforos, écrivain et traducteur. Frustration publie aujourd’hui la version française de cet entretien, profondément ancré dans l’actualité. Au fil de leur dialogue, les deux écrivains abordent des thématiques majeures, telles que la colonisation en Palestine et ailleurs, l’élection de Donald Trump, la place de l’argent, mais aussi les figures de Léon Trotsky et d’Edward Saïd. Ils évoquent également, sans détour, leurs conditions d’écriture et de vie.
Rami Abou Jamous écrit son journal pour Orient XXI. Ce fondateur de GazaPress, un bureau qui fournissait aide et traduction aux journalistes occidentaux, a dû quitter en octobre 2023 son appartement de Gaza-ville avec sa femme Sabah, les enfants de celle-ci, et leur fils Walid, deux ans et demi, sous la menace de l’armée israélienne. Réfugiée depuis à Rafah, la famille a dû ensuite se déplacer vers Deir El-Balah et plus tard à Nusseirat, coincés comme tant de familles dans cette enclave miséreuse et surpeuplée. Un mois et demi après l’annonce du cessez-le-feu, Rami est enfin de retour chez lui avec sa femme, Walid et le nouveau-né Ramzi. Pour ce journal de bord, Rami a reçu le prix de la presse écrite et le prix Ouest-France au Prix Bayeux pour les correspondants de guerre. Cet espace lui est dédié depuis le 28 février 2024.
Pour l’écrivain syrien Yassin al-Hal Saleh, la chute du régime d’Assad résonne comme celle du mur de Berlin. Sa vie, marquée par l’exil, la prison, par la disparition de sa femme Samira al-Khalili en 2013 enlevée par un groupe islamiste, incarne la lutte pour la liberté. Pour AOC, il revient sur ce qu’il a lui-même découvert depuis décembre, sur l’abandon dont son pays a été victime, sur l’islamisme, sur le besoin d’archives nationales. Quelques jours avant de retourner dans son pays, il s’est entretenu avec Justine Augier, qui connaît bien la Syrie pour avoir, avec Personne morale, documenté l’affaire Lafarge, cimentier français accusé d’avoir financé des groupes djihadistes pendant la guerre.
Expulsion du dernier lieu anti-autoritaire / anarchiste de la ZAD de NDDL, La Grée le 22/04/2025 !
On s’organise avec les quelques (...)
Les dégâts gigantesques d’une infrastructure telle que l’A69 ne se résument pas au moment de sa construction, car ensuite il y a les extensions (...)
Rami Abou Jamous écrit son journal pour Orient XXI. Ce fondateur de GazaPress, un bureau qui fournissait aide et traduction aux journalistes occidentaux, a dû quitter en octobre 2023 son appartement de Gaza-ville avec sa femme Sabah, les enfants de celle-ci, et leur fils Walid, trois ans, sous la menace de l’armée israélienne. Réfugiée depuis à Rafah, la famille a dû ensuite se déplacer vers Deir El-Balah et plus tard à Nusseirat, coincés comme tant de familles dans cette enclave miséreuse et surpeuplée. Un mois et demi après l’annonce du cessez-le-feu, Rami est enfin de retour chez lui avec sa femme, Walid et le nouveau-né Ramzi. Pour ce journal de bord, Rami a reçu le prix de la presse écrite et le prix Ouest-France au Prix Bayeux pour les correspondants de guerre. Cet espace lui est dédié depuis le 28 février 2024.
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