Face à la dérive autoritaire du gouvernement, un très large collectif d’universitaires et de membres de la société civile s’insurge contre la « criminalisation » de toute personne s’opposant « à ses lois et à ses politiques funestes » et contre une « violence d’État » servie par l’usage d’armes de guerre. Ils appellent l’ensemble des citoyens « à se joindre au mouvement social ».