Depuis vendredi, les images de manifestants écologistes se faisant arroser de gaz lacrymogènes lors du blocage pacifique d’un pont parisien font le tour du monde. Le ministre de l’écologie, François De Rugy semble voir d’un bon œil la brutalité policière et annonce à qui veut encore l’entendre que « le temps n’est plus aux manifestations ».
Le lendemain, notre rédaction recevait un mystérieux communiqué accompagné d’une vidéo et signé Action Violente COP21. Celles et ceux qui se présentent comme des militants d’ANV-COP21 y revendiquent la destruction d’un portrait de notre président et appelle à une nouvelle stratégie écologique basée sur une philosophie « non-non-violent ».