Ce qui serait bien, c’est que « les artistes », comme d’ailleurs toutes les catégories opprimées et exploitées (c’est à dire beaucoup de monde), se coordonnent avec les autres et approfondissents leurs réflexions et protestations :
NOUS NE REJOUERONS PAS SUR UN TAS DE CENDRES. . JE SUPPLIE : ceux qui parmi mes amis de la culture pensent que « notre lutte devrait se concentrer uniquement sur des enjeux culturels, que la casse des chômeurs ou des autres intermittents de l’emploi, bien sûr c’est malheureux mais que c’est un autre combat, qu’au fond ils n’ont qu’à faire leurs propres (...)