Comme si le leitmotiv français de 1973, sur fond d’avions renifleurs, « on n’a pas de pétrole, mais on a des idées... » se déclinait désormais, faute de cerveau disponible, dans sa version « on n’a pas de pétrole, on n’a pas d’idées, donc on copie aveuglément le modèle dominant ».
Nos zélites étasuniennolâtres poursuivent imperturbablement la même course à l’échalote avec toujours le même décalage de vingt à trente ans de retard (qu’il s’agisse de modes de management entrepreneurial, d’économie, de politique-spectacle ou d’encadrement des masses), alors même que le grand frère modèle (...)