Mariton quitte la politique pour se consacrer à l’écriture ?!

Dans le JDD, après son échec aux législatives (M^me Célia de Lavergne n’ayant pas obéit à la consigne de lui laisser le champ libre) et l’échec de ses candidats de droite, le roitelet Mariton dit vouloir se consacrer à présent à l’écriture et même faire l’acteur !

Extrait sur le Point, et avec le son : L’ancien député Les Républicains a tourné la page de la politique pour s’atteler à l’écriture. C’est ce que l’on apprend dans les colonnes du JDD ce dimanche. L’ancien candidat à la présidence LR se consacre désormais à « l’écriture d’un livre sur Alexandre Soljenitsyne, mais aussi d’une pièce de théâtre autour du discours de Harvard prononcé en 1978 par le dissident soviétique ». Hervé Mariton ne s’arrête pas là. Il compte également monter sur les planches pour jouer lui-même l’acteur.

Malheureusement, il ne semble pas encore annoncer sa démission du poste de maire.
Suggérons-lui d’écrire aussi un livre sur Tolstoï, ce serait édifiant pour lui et ça l’occuperait encore davantage, l’obligeant ainsi à quitter pour de bon son trône à Crest qu’il occupe depuis bien trop longtemps, au point qu’il semble croire que la mairie et ses habitants sont « sa chose ».
Lui qui semble accorder à présent peu d’intérêt à Crest et à la 3CPS (sauf pour les dossiers qui servent ses affaires et goûts), s’il veut vraiment quitter cette routine qui le fatigue (il se plaignait il y a peu de la mauvaise ambiance qu’il a créée à Crest) et se ressourcer, qu’il laisse la place, ça ne pourra pas être pire.

 En tout cas, il devrait candidater de ce pas pour un (petit) rôle dans le prochain film des Bouffons Anonymes, qui en ce moment nous régalent avec une web-série, une frasque historique, intitulée : « Il était une fois à Crest-City » (prononcer CRESTE). Dans ce western, il est justement question de pouvoir et d’un shérif qui débarque à Crest-City.
Nul doute que les Bouffons lui trouveront un rôle à sa mesure  ! Un dictateur qui déforme à son profit le communisme ou un fou fervent de l’ultra-libéralisme ? Le choix est vaste.

 Il pourrait aussi étudier Karl Marx avec profit, et ainsi se rendre compte par exemple que la dictature de l’ex URSS n’était pas forcément du communisme.