Sous les aboiements néo-fascistes et ultracapitalistes du pouvoir et de ses larbins mécaniques qui occupent H24 l’espace médiatique, les braises de la révolte couvent. Ces braises sont sans cesse ravivées par les tombereaux d’essence que le système en place jette partout. Qu’est-ce qui pourrait réveiller pour de bon la rage de la révolte, vers une insurrection inextiguible à même de recomposer durablement et favorablement le paysage, les alliances, les modes d’actions et les objectifs ? (...)