La vidéosurveillance biométrique-algorithmique française, avec légalisation de la reconnaissance faciale en vue, se rapproche de certaines pratiques chinoises. Des cultures différentes, mais un fond autoritaire et techno-industriel commun qui converge vers des dystopies anciennement vues dans des films d’anticipation.
En france la vidéosurveillance biométrique-algorithmique automatisée se déploie à marche forcée sous prétexte de JO, d’expérimentation, d’attentats, de protection des (...)