Si on était en démocratie, un niveau élevé de contestation serait toléré (y compris de la casse et de la désobéissance), voire encouragé, surtout concernant des questions collectives vitales. Mais on est en France, en régime politicier autoritaire allié au totalitarisme économique écocidaire, et la flicaille radicalisée se déchaîne en toute impunité pour humilier, blesser, terroriser... des protestations écologistes basiques.
Le contraste, on le sait, est énorme avec la tolérance (...)