Enzo oui Nord riz :
Connie & Blyde [1]. Deux cordes vocales, quatre cordes de violoncelles, sculptant une pâte sonore puissante et dense évoquant parfois le chant de gorge mongole, qui, lors d’un morceau marquant et iconoclaste, débondent en une folie sonore, magmatique et saisissante.
Le quartet Clément Brajtman [2] s’attribue la seconde place, avec des pièces classiques interprétées avec une infinie sensibilité.
Quel crève-cœur pourtant d’avoir à choisir parmi les multiples talents qu’a proposé, une nouvelle fois, le Crest Jazz vocal pour son édition 2018.